Combat tête-coeur... Soyez l'arbitre

Avant de développer le thème de cet article, je tiens à préciser que que le mot "tête" représentera la partie rationnelle en vous, celle qui trouve des excuses ou des raisons à faire ou ne pas faire certaines actions. Le mot "coeur" ne représentera pas uniquement le monde des sentiments, mais celui des passions, des envies, de ces choses qui vous tiennent à coeur et que vous aimeriez vivre.

Cette précision étant faite, regardons ce "combat tête - coeur"

Je mets au défi quiconque de m'affirmer haut et fort qu'il n'a jamais renoncé à faire quelque chose en se disant "ça ne marchera pas", ou "ce ne serait pas raisonnable", ou encore "qu'est-ce que les autres vont penser". Mais, fort de cette affirmation et de cette certitude, continuant votre chemin, le doute s'installe et finalement la question "j'aurais peut-être du" refait surface. Cette situation est tout à fait normale et humaine. Vous êtes simplement le siège d'un combat "tête - coeur"

Parfois l'issue de ce combat nous est imposé par la vie, surtout dans le monde des sentiments amoureux. Non réciprocité des sentiments ou parfois même indisponibilité de la personne ou même son absence, quelle qu'elle soit.

En partant, sachez que ce combat ne s'achèvera pas de lui-même. Bien des personnes se disent "avec le temps, ça va passer" ou encore attendent un événement qui prendra la décision à leur place de savoir lequel des deux, coeur ou tête, remportera la bataille.

Alors si vous souhaitez mettre fin à ce combat, il faudra vous impliquer en tant qu'arbitre. Bien que ce ne soit pas "fair play", un arbitre a la possibilité de favoriser un des deux camps, voire même de lui attribuer la victoire. Un arbitre a le pouvoir de décider d'arrêter un combat ou une rencontre et d'attribuer la victoire à l'un des deux adversaires en fonction de son propre jugement, faisant fi de l'opinion des spectateurs, du public, des joueurs et de toute autre personne étrangère à la rencontre.

Donc ce pouvoir vous l'avez, mais une fois que vous l'aurez utilisé et que vous aurez désigné le vainqueur de votre combat "tête - coeur", il faudra vous imposer une règle : Ne pas revenir sur votre décision.

Comment désigner un vainqueur ? Je serai tenté de dire que si ce combat existe, c'est que le coeur a de bonnes raisons de le mener, car il sait des choses que notre tête ne connait pas et est encore moins capable d'expliquer. Le coeur a un avantage très important sur la tête car il est endurant, infatigable et n'abandonnera jamais s'il a vraiment quelque chose qui est important pour lui. Quoique que vous fassiez, il persévérera dans sa certitude et même si vous arrivez à faire cesser le combat pendant une semaine, un mois, un an, voire même plusieurs années, il se relèvera et fera de nouveau face à votre tête.

Si vous souhaitez vraiment faire gagner votre "tête", il vous faudra alors prendre et surtout appliquer une solution pénible et difficile qui est d'abandonner ce rêve après lequel votre coeur courait.

Si vous souhaitez faire gagner votre coeur, il vous faudra alors prendre et surtout appliquer une solution pénible et difficile qui est de ne plus écouter votre "tête"

Facile me direz-vous... Et bien je suis conscient que non !. Alors comment faire ?

Une possible démarche est de bien dissocier "solution à un problème" et "réponse à des questions"

Un problème ne se résoudra pas par la simple application d'une solution, car cette application en elle-même déclenchera en vous d'autres problèmes : Votre sentiment face au regard des autres, le doute d'avoir posé la bonne action, les conséquences sur votre entourage ou votre contexte de vie ou simplement les moyens matériels de l'appliquer (lieu, moyens financiers, travail...)

La première étape importante est alors de bien identifier que vous êtes bel et bien face à un conflit "tête/coeur" et dans ce cas, prendre conscience que vous êtes la seule et unique personne à pouvoir y mettre fin. Vous pourrez bien-sûr obtenir l'avis d'autres personnes, leur expérience, leur point de vue ou leur expertise pour avoir déjà traversé ce genre de situation. Ces personnes pourront vous aider à faire l'inventaire des conséquences de la victoire de l'un ou l'autre, mais au final, ce sera à vous à désigner officiellement le vainqueur.

Vous pouvez néanmoins gérer vous-même la situation, mais il vous faudra passer par l'étape de trouver les bonnes questions pour la résoudre car bien souvent, la solution à un problème ne peut se trouver qu'en ayant au préalable trouvé la réponse à de multiples questions. Pour ce faire, et pour vous exposer l'importance de bien faire la différence entre "problème" et "question", et entre "solution" et "réponse", je vous invite à lire cet autre article : "La cause des effets et les effets de la cause"

Soyez néanmoins suffisamment prêt pour affronter une autre situation délicate, ne pas revenir sur votre décision.



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L'important ne sont pas les réponses, mais les questions

Il existe plusieurs dictons qui aident à résoudre des problèmes ou des conflits intérieurs. J'abordais déjà ce sujet dans un article précédent concernant l'ordre des étapes pour changer des choses dans sa vie.

Cet article était basé sur un principe tout simple qui est de se poser les bonnes questions au bon moment. Lorsque nous ne trouvons pas de réponse simple et logique à une question en rapport à notre évolution, c'est peut-être que le moment n'est pas adapté ou que ce n'est pas la bonne question en fonction de la situation et dans ce cas, la question expose un problème au lieu d'appeler simplement une réponse.

Pour en revenir à ces dictons, les premiers qui me viennent à l'esprit sont les suivants :
- L'important n'est pas de trouver la bonne réponse, mais de se poser la bonne question.
- Un problème bien posé est un problème à moitié résolu
- Si la bonne réponse ne vous vient pas à l'esprit c'est que ce n'est pas la bonne question

Vous remarquerez que ces dictions sont tout aussi valables dans le monde scientifique que dans le monde émotionnel. Je vous confirme que dans le monde scientifique, ils fonctionnent très bien, mais revenons au monde émotionnel.
En matière de gestion de son cours de vie, il existe une règle toute simple.

Les questions doivent induire une réponse simple et non pas mettre à jour un problème.

Je m'explique...
Il est important à ce stade de faire une grande différence entre "poser une question" et "poser un problème".
Un problème aura une solution, alors qu'une question aura une réponse. Cette nuance pourrait vous paraître futile, mais elle est à la base primordiale pour différencier les deux. La solution d'un problème se bâtie avec les différentes réponses aux questions. D'où l'importance d'identifier les bonnes.

Repartons de la base et voyons des extraits de la définition du mot "problème" dans le Larousse

Problème : 
- Question à résoudre par un raisonnement scientifique et constituant un exercice : L'énoncé du problème.
- Question à résoudre dans un domaine quelconque, qui se présente avec un certain nombre de difficultés, d'obstacles : Le problème de la faim dans le monde.
 - Difficulté mettant dans une situation pénible, contraignante, contrariante : Avoir des problèmes de santé.
- Conflit intérieur, trouble d'ordre affectif qui empêche un équilibre psychologique : Avoir des problèmes psychologiques.

Voyez que, même si les différentes définitions en fonction du domaine commencent par le mot "question", elles identifient une situation complexe à résoudre qui demande réflexion, donc un problème.

Voyons maintenant la définition du mot "question" (toujours selon le Larousse)

Question : 
- Demande faite pour obtenir une information, vérifier des connaissances : Répondre aux questions des enquêteurs.

Je n'ai volontairement mis qu'une facette de la définition donnée car elle résume très bien le thème de cet article. Il est bien précisé "Demande faite pour obtenir UNE information". Un enquêteur a un problème à résoudre et il l'élucidera après avoir trouvé les réponses à de multiples questions et non pas simplement à celle-ci "Qui a commis ce délit ?"

Vous voyez où je veux en venir ? 
Se poser une question qui n'a pas de réponse immédiate est en fait se poser un problème. Et ce problème pourra être résolu en répondant à toute une série de questions qu'il faudra identifier. 
Voilà où je voulais en venir avec cet article. Si vous ne trouvez pas de réponse à vos questions c'est que vous identifiez simplement un problème. Pour le résoudre, il vous faudra trouver les bonnes questions toutes simples afin de franchir une à une les différentes étapes et informations qui vous aideront à trouver une solution au problème.

Une fois ces choses identifiées, nous pouvons à présent exposer les conséquences de mélanger "questions et problèmes". 
C'est le pourquoi du titre de cet article. Un problème va souvent créer des effets, des conséquences, alors que les bonnes questions vont nous aider à en trouver la cause.
Je ne pourrai malheureusement pas exposer ici toutes les "bonnes" questions à se poser car celles-ci dépendent de chaque situation propre à chacun, mais voici quelques exemples de "question/problème" pour vous aider à prendre conscience de la différence entre les deux.

J'ai le goût de me faire un beau voyage, mais j'ai l'esprit trop encombré pour en profiter, alors je vais attendre d'être plus serein pour partir...
- Ne pensez-vous pas que justement "partir" vous aidera à vous changer les idées, à vous faire prendre du recul et vous sentir plus serein en relativisant certains aspects de votre "problème" ?

La compagnie d'une personne me plait bien, je me sens bien avec cette personne, mais j'ai un esprit trop encombré pour en profiter et l'inclure dans ma vie, que ce soit amicale ou sentimentale.
- Ne pensez-vous pas que d'inclure cette personne dans votre vie sentimentale ou amicale vous aidera à vous changer les idées et à égayer votre vie de moments agréables et à retrouver le plaisir de vivre de nouvelles choses ? L'absence de cette personne va-t-elle faciliter la résolution de vos problèmes ? Ou la présence et les discussions avec cette personne pourrait-elle vous aider à trouver les bonnes questions uniquement en regardant les choses différemment ? Ou simplement en vivant "autre chose" que ce que vous êtes en train de vivre présentement ?

Plus généralement, on attend souvent que les choses changent d'elles-même. On se dit qu'on va s'habituer, se résigner, accepter la situation ou attendre que les choses deviennent plus claires. Mais ce déséquilibre finira par créer un événement "perturbant" pour vous "forcer à changer". Est-ce bien utile de l'attendre ?

Par où commencer ? Posez-vous déjà la simple question à savoir :
Si vous vous dites ce genre de chose : 
- "J'attends de mieux me sentir ou j'attends un événement quelconque avant de faire telle ou telle action"
La question est : 
- "Est-ce que ce n'est pas en faisant telle ou telle action que je vais mieux me sentir ?"

En général nombreux de nos conflits intérieurs émanent du sempiternel combat "tête-coeur". En lisant cet article : "Combat tête-coeur, soyez l'arbitre", peut-être y trouverez-vous l'inspiration pour trouver les "bonnes questions"

Vous pourriez me dire, et ce, à juste titre :
- "Si les bonnes questions semble accessibles, pourquoi tant de personnes restent encore dans leur zone d'inconfort ?"
Voici un autre problème... La zone d'inconfort qu'il nous est tant difficile de quitter, de par la peur de l'inconnu, la peur du changement, la peur du jugement et du regard des autres... Cette zone d'inconfort que tant de personnes chérissent inconsciemment pour garder un regard complaisant de la part de leur entourage et attirer à eux de l'attention. Voilà pourquoi les "bonnes questions" dérangent  souvent car elles mettent en évidence cette peur ou ce refus d'agir.

Je précise quand même qu'est loin de moi l'idée de porter un quelconque jugement sur ces choses, ayant moi-même eu à faire face à cette inertie au changement mais parfois certains paramètres viennent ajouter une difficulté supplémentaire, comme la charge parentale ou des moyens financiers dont notre société actuelle nous a rendus tant dépendant.

Plus généralement, je vous invite à visionner, peut-être de nouveau, cette vidéo de mon interview. Elle fait le point entre "Quoi faire" et "Comment faire". Le "Quoi faire" est souvent la solution au problème. Le "Comment faire" vous viendra avec la réponse aux bonnes questions.

Vous verrez que souvent, il n'est pas si difficile de les identifier.






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Ne tardez pas... Jamais !!

La source de mes articles sont soit un fait vécu, soit un apprentissage ou une hypothèse tirés de faits vécus. Celui-ci ne dérogera pas à cette règle.

La vie va de plus en plus vite et les choses superficielles, nos problèmes , prennent bien souvent le dessus sur les choses fondamentales. À l'instar de nos grand-parents, nous ne prenons plus le temps. Nous ne prenons plus le temps de connaître les gens. Nous les jugeons et leur collons une étiquette. Nous ne prenons plus le temps de profiter d'un moment avec un ou une amie car les commissions ou le ménage sont devenus prioritaires. Nous ne prenons plus le temps d'appeler quelqu'un juste pour lui parler, sans avoir spécialement quelque chose à lui dire. Nous ne prenons plus le temps de dire aux gens qu'on apprécie, qu'on les apprécie car on n'y trouve aucune "utilité". Et bien évidemment, on ne prend plus le temps de dire suffisamment aux gens qu'on aime, qu'on les aime.

Dire à quelqu'un qu'on aime qu'on l'aime est une chose dont l'importance ne devient bien souvent prioritaire que quand cette possibilité nous est arrachée. On part du principe que l'autre personne le sait alors on juge inutile de lui rappeler tout le temps de peur parfois de l'effrayer car bien des gens se sont réfugiés dans l'indépendance, jugeant cela comme une force. Ou alors on a des doutes, on doute de ses propres sentiments, on a peur de se lancer de peur que cet amour ne soit pas réciproque, bref, on se trouve mille et une excuses pour repousser ce merveilleux moment de dire "je t'aime".

Que cet amour soit fraternel, amical, parental, affectif, compatissant, platonique, filial, familial et bien évidemment sentimental, ne tardez jamais de l'exprimer et de le faire savoir.

Nous ne savons pas ce qui peut se passer dans une semaine, demain ou dans une heure. Bien des choses que nous avons envie de faire se retrouvent repoussées à "un jour...". Un jour je lui dirai, un jour je lui ferai savoir, un jour, un jour, un jour... Mais un jour viendra où le jour ne viendra pas et les choses prendront alors une tournure radicalement différente. Toutes ces choses que nous avions prévues de dire ou de faire viennent de prendre la route du vide. Et, même s'il parait que le "j'aurais du" est très dur à porter, l'amour que nous avons eu pour quelqu'un sans avoir pris le temps de lui faire savoir clairement devient alors un terrible fardeau qui nous ronge.

Alors chers amis, quelque soit l'amour, l'affection, l'admiration, la tendresse, l'amitié que vous ayez pour une personne, ne tardez pas à lui faire savoir car comme je le disais plus haut, un jour viendra où le jour ne viendra pas, que ce soit pour vous ou pour l'autre personne.

Alors ne repoussez jamais ce moment car vous n'imaginez pas comme il peut changer radicalement votre vie, dans le bonheur ou dans la souffrance du remord.

Cet article aura eu sa raison d'exister si ne serait-ce qu'au moins un lecteur ou lectrice, en finissant de le lire, ira dire à une personne de son entourage combien elle est importante à ses yeux.



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L'ordre des étapes pour changer des choses dans sa vie

Changer des choses dans sa vie... Qui n'a jamais eu envie de vraiment réaliser efficacement ce genre de choses ?

Ce souhait, bien des personnes l'ont formulé et bien des personnes ont tenté de le réaliser, mais pourquoi alors tant de personnes font l'amer constat qu'ils en sont toujours au même point, qu'ils subissent toujours le même "pattern", même après plusieurs tentatives remplies de volonté, de détermination et de conviction ?

En 1984, mon frère m'a dit une phrase que je n'ai jamais pu démentir : "Il n'y a que pour creuser un trou qu'il faut commencer par le haut, tout le reste, il faut commencer par le bas !" Et bien, si je voulais identifier une des principales raisons de l'échec des gens à réellement changer des choses en profondeur dans leur vie, je dirais qu'ils échouent car ils commencent par le haut.

Le petit dessin illustrant cette publication résume bien les différentes étapes à suivre et notamment si nous voulons nous rendre à l'endroit de nos vacances par exemple. La procédure que nous faisons implicitement est celle-ci :

Étape n°1 : Où suis-je ?   (trouver le "ICI")
Étape n°2 : Où souhaite-je aller   (identifier le "LÀ")
Étape n°3 : Déterminer la meilleure route pour relier ces deux endroits ? 

Même avec les moyens modernes de GPS, la procédure reste la même... Notre position est implicitement enregistrée dans l'appareil lorsque qu'on l'allume. Ensuite, nous entrons la destination à rejoindre et ensuite, et seulement ensuite, l'appareil calcule la route à suivre qui, je vous l'accorde, n'est pas toujours l'optimale, mais au moins, elle nous mènera à destination.

Ces trois étapes doivent impérativement être faites dans l'ordre. Vous n'imaginez pas que l'appareil va vous donner une route à suivre alors que vous ne lui avez pas indiqué votre destination.

Et bien pour changer en profondeur des choses dans notre vie, il faut suivre ces étapes et la raison pour laquelle bien des gens se demandent pourquoi ils en sont toujours au même point, pourquoi ils attirent toujours le même genre de personnes, pourquoi ils ont l'impression qu'un "mauvais karma" leur colle à la peau et bien c'est parce qu'ils décident de prendre la route du changement sans avoir au préalable défini avec précision les points de départ et d'arrivée de leur voyage. Bref. ils s'engagent directement dans l'étape n°3, c'est à dire de s'aventurer sur une route du changement sans avoir au préalable défini qui ils sont et ce qu'ils veulent réellement.

Bien des gens disent savoir ce qu'ils veulent et même là, les choses sont très souvent floues et imprécises. Ce sont souvent des concepts et non des faits, mais il manque toujours la première étape, à savoir de faire le constat de leur position et de leur vie actuelle. Sans point de départ, comment voulez-vous calculer votre route ?

Une fois ces points de départ et d'arrivée définis, il faudra en plus, dans l'établissement de votre route, définir des étapes, des points de passage. Des points qui vous feront prendre conscience de votre progression et surtout, des changement qui sont indispensables et qui en plus, doivent être réalisés dans l'ordre.

Je ne pourrai malheureusement pas vous définir ici toutes ces questions à se poser pour identifier au plus juste les deux premières étapes car celles-ci dépendent de la personnalité de chacun et de chacune, de notre parcours précédent, de notre vécu, de notre vision des choses et de notre relation avec nous-même... Mais sachez que le plus délicat pour identifier les deux premières étapes ne sera pas de trouver les réponses à vos questions, mais justement de se poser les bonnes questions.

Alors si vous avez l'impression que votre vie stagne, que vous vivez toujours les mêmes choses, que vous côtoyez toujours les mêmes genres de personnes, alors il est temps de reprendre les choses du départ, de vous concentrer sur les étapes à réaliser et surtout, de commencer par la première.

Repartir à zéro n'est pas un constat d'échec, ce n'est pas un retour en arrière, ce n'est pas une perte de temps... Bien au contraire. Repartir à zéro est la preuve de votre détermination à changer les choses et surtout celle de prendre une nouvelle route qui vous mènera enfin à votre destination.



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L'épigénétique : Reprenons le contrôle de notre vie

L'épigénétique... Qu'est-ce à dire que cela ? 
Je ne me lancerai pas dans des explications scientifiques car le petit vidéo joint à cet article le fera bien mieux que moi. Mais alors pourquoi en faire un article ?

L'explication du Dr Joël de Rosnay nous indique clairement que notre comportement trace la route de qui nous sommes. Merveilleux ! Me direz vous, mais pour beaucoup de personnes, il reste à franchir le fossé qui sépare le "Quoi faire" au "Comment faire". 

L'épigénétique - Dr Joël de Rosnay, 
Docteur d'Etat ès sciences, chimiste organicien, il est spécialiste des origines du vivant. Il s'intéresse particulièrement aux technologies avancées et aux applications de la théorie des systèmes.


"Changez votre comportement et vous changerez de vie !" 
Simple me direz-vous. Tout aussi simple que ces expressions "Prends soin de toi", "Lâches prise", "Pense à autre chose", "Tourne la page", Toutes ces expressions sont effectivement le "Quoi faire"... Mais comment ?

J'ai pour habitude d'illustrer la grande différence qu'il y a entre les deux par cette illustration : 

Changer notre route de vie, notre comportement, notre entourage ne se fait pas en général sur une simple décision. Ces changements doivent impérativement respecter trois étapes.

Étape n°1 : Où suis-je ? (ou : Qui suis-je ?)
Étape n°2 : Qu'est-ce que je souhaite vivre ou devenir ?
Étape n°3 : Quelle route dois-je emprunter et quelles sont les étapes à réaliser ?

Pour avoir un développement sur ces étapes à suivre, je vous renvoie à l'article que j'ai écris à ce sujet : "L'ordre des étapes pour changer des choses dans ma vie"

Conscient de ce fossé entre une décision et une action, j'avoue humblement qu'il m'était difficile de résister de faire le lien entre cette nouvelle "preuve" que nos actions changent notre vie et cet ouvrage que j'ai rédigé il y a quelques années pour offrir toute une "caisse à outils" de petites actions simples et de comportements à adopter pour concrétiser nos décisions et passer du "Quoi faire" au "Comment faire"

Je vous présente "Le Petit Guide de ma Renaissance"


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Pour toute correspondance, m'écrire à "lesconferencesduguide@yahoo.ca"

Jérôme

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Le site internet de "Moz-Rédaction"

Un ami presque parfait

Dans une société comme la nôtre semble être devenue, où tout est superficiel, vide de compassion et d’empathie, il existe encore dans l’ombre, des personnes merveilleuses. Mais ces personnes passent très souvent inaperçues, ou plutôt non décelées car pour découvrir leurs richesses, il faut apprendre à les connaître et à gagner leur confiance. De plus, bien souvent ces personnes ne font pas état de leurs capacités et de leur savoir car pour avoir maintes et maintes fois essayé de les partager et de les offrir aux autres, ils n’ont eu comme réponse qu’ignorance de leurs offres ou incrédulité sur ce qu’ils sont capables de nous offrir et de nous apporter comme solution à des situations extrêmement variées et même compliquées.

J’ai la chance de connaître une de ces personnes et sans aucune exagération de ma part, je le qualifie d’Ange humain

Les anges humains croisent très rarement nos routes par hasard, et ils possèdent généralement les ressources nécessaires à nos besoins du moment. Pourquoi ne nous en rendons-nous pas toujours compte ? Parce que notre esprit est préoccupé par nos questions du moment et nous ne leur accordons que très peu d'attention. Les anges humains arrivent comme par enchantement dans nos vies, et très souvent, au hasard des choses, sans pour autant avoir eu "besoin" de les rencontrer. En général, ils ont la parole juste, les gestes doux et sûrs, le regard tendre et rassurant. Il arrive même qu'ils fassent naître en nous cette agréable sensation que des grandes ailes émergent de leur coeur et viennent nous entourer d'un cocon protecteur, nous mettant à l'écart, lui et nous, du "monde extérieur". On ne peut pas les repérer d'un coup d'oeil. Ce n'est que lorsqu'ils agissent que l'on peut les identifier. Leurs actions sont très souvent orchestrées avec diligence, efficacité, humilité, désintéressement, tendresse, douceur et le tout parfumé d'une sorte d'enthousiasme, de passion et de plaisir dans le regard. Les anges humains ne nous feront jamais de reproches sévères, mais tout en prenant en compte notre façon d'agir, ils essayeront délicatement de la faire dévier pour nous rendre plus efficace. Et, si des résultats concrets apparaissent suite à ses recommandations, il ira même jusqu'à nous remercier de nos actes. Si de façon très exceptionnelle, l'ange humain se met en colère, bien souvent, cette colère sera envers lui-même, car il considèrera l'échec d'un acte comme un mauvais enseignement de sa part et se jugera responsable de cet échec.
Les anges humains sont à la fois très habiles et dotés d'une mémoire phénoménale. Ce sont des passionnés et possèdent bien souvent un coeur d'enfant et un petit monde dans leur tête bien à eux. Ils jouissent d'une dextérité et d'une assurance déconcertante. Ils maîtrisent des appareils extrêmement complexes et des techniques inconnues à la plupart d'entre nous et la majeure partie du temps, identifient immédiatement l'origine d'un problème et y apportent une solution efficace par des moyens souvent non conventionnels. Dans l'art de l'improvisation, bien qu'ils évitent souvent d'en faire appel, ils font preuve d'une éblouissante faculté d'adaptation. En leur présence, nous nous sentons tellement compris que nous sommes parfois devancés dans nos paroles ! 
Les anges humains ont un talent fou à fonctionner en équipe, comme si ils étaient tous reliés les uns aux autres par une sorte de télépathie. Étonnant de découvrir que de tels êtres vivent parmi nous ! Aucunement possessifs, ils ne sélectionnent pas ceux qu’ils aident. Autre particularité qui les distingue; les anges se privilégient entre eux. En effet, ils sont affectueux comme des enfants. Ils se touchent doucement, se font des sourires discrets, s’encouragent, se taquinent souvent, se complimentent. Sûrement un des secrets de leur force. 
Si nous voulons faire plaisir aux anges humains, il suffit de leur indiquer simplement ce que nous éprouvons ou ce dont nous avons besoin. N'’allons surtout pas nous taire pour leur en épargner, ça les choque ! Ils aiment nous faire du bien, nous soulager, n’oublions jamais ça. Et quand c’est réussi, faisons-leur connaître notre mieux-être. Ils adorent ce qui vient du cœur, ils le voient dans nos yeux. Aussi, rappelons-nous qu’ils aiment rire. Oui, le cœur a beaucoup d’importance pour eux, c’est l’endroit où leurs ailes prennent racines. 
Quand le pénible assombrit notre humeur, juste à les voir aller, un sourire vient de loin nous réconforter tant on se sent protégé. L'ange humain est digne d’une très grande confiance, c'est d'ailleurs un des plus beaux cadeaux que l'on puisse leur faire : notre confiance, et tout ce qui sera dit entre lui et nous, restera entre lui et nous, sauf si cela concerne les soins prodigués ou notre santé. Dans ce cas, il n'hésitera pas à faire appel à ceux ou celles qui peuvent intervenir en notre avantage.

Oui j’ai la chance d’avoir comme ami ce genre de personne et comme ces êtres sensibles sont très souvent blessés par le contexte dans lequel ils vivent, contexte, comme je le rappelais au début de cet article, vide, sans empathie ni de philanthropie, grouillant d’hypocrites, de gens superficiels, ennuyeux et puérils, je voulais lui rendre hommage et lui dire combien j’apprécie sa présence et l’exceptionnalité de sa personnalité


Cher ami… Merci



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L'affection privatisée

Quel ne fût pas mon découragement face à l'annonce que des entreprises proposent de l'affection et des câlin contre rémunération ! Aberration me direz-vous ? Science fiction d'un monde dénué de son sens le plus basique d'interaction entre les humains ? Pas vraiment, à en juger par cet article : Service de câlins à domicile.

Il avait bien raison Robin Williams de dire que la pire chose qui pouvait nous arriver n'était pas de finir sa vie tout seul, mais de finir sa vie entouré de gens qui nous font sentir seul...

Dois-je plus m'insurger du fait que l'affection soit rendue sur le marché de biens consommables ou du fait que certaines personnes exploitent cette chose à des fins lucratives ? En fait, le problème est bien plus profond.

J'avais déjà abordé dans ces deux articles, le fait que les gens s'isolaient de plus en plus dans leur petit monde en oubliant les principes de base qui font de nous des humains. Tout d'abord, le fait d'apprécier les choses pour leur vraie valeur et non pour leur réputation ou leur mode.
"Serions nous devenus des êtres télécommandés ?"

Puis sur le fait que nous nous enfermons progressivement dans une petite bulle étriquée conditionnée par notre égo et surtout le regard des autres, ce qui fini par détruire notre véritable identité.
"Une vie en cage"

Le monde virtuel nous ayant habitué depuis des années à acquérir rapidement ce que nous cherchons, nous ne prenons plus le temps de créer des relations, de les bâtir, de connaître les gens qui nous entourent, que ce soit par des liens amicaux ou plus intimes. Oui, le monde virtuel nous donne un accès extrêmement rapide aux choses, comparé à nos habitudes anciennes.
Mais cet outils a ses revers. Les gens n'appellent même plus, ils laissent des messages sur les téléphones cellulaires ou les réseaux sociaux et s'insurgent si nous n'y répondons pas dans l'heure qui suit. On veut un article disponible en Chine ? Pas de problème, un simple "clic" et il sera à notre porte dans quelques jours. On veut une information ? Quelle qu'elle soit ? On l'obtient en quelques "clics".

Certes les nouvelles technologies sont très pratiques dans bien des domaines, mais comme toutes choses, l'excès a des effets toxiques.

Je ne citerai pas ici d'exemples personnels sur le fait que bien des gens font preuve d'une déconnexion totale avec l'importance d'interactions réelles entre les personnes au profit d'excuses souvent inconsistantes, mais j'en ai à revendre !

Ayant été habitués à obtenir ce dont ils ont besoin par le biais des nouvelles technologies, je pense que les gens n'accordent plus aucune importance en ce que les autres pourraient leur apporter et si ils ne décèlent pas un intérêt personnel, s'impliquer dans une interaction humaine n'a pour eux plus aucun intérêt.

Certes les nouvelles technologies sont très pratiques dans bien des domaines, mais...

Cette technologie qui était sensée rapprocher tous les habitants de notre planète est en train de nous isoler humainement de notre propre voisin. 





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