La vraie facette des pensées positives

Depuis bien des années, je m'emploie à aborder le monde "spirituel" avec une approche "scientifique". Hô, loin de moi l'idée de vouloir le transcrire en formules restrictives, mais plutôt d'y découvrir une certaine "logique", un mode de fonctionnement et de compréhension afin d'utiliser les lois qui le régissent, de la bonne manière. Ce monde n'est pas arbitraire, et je reste intimement convaincu qu'il fonctionne selon une "logique" dont il est possible d'avoir une idée quand nous partons à sa recherche.
- "Pourquoi ?", Me direz-vous !. Pourquoi chercher à essayer de comprendre "comment ça marche", au lieu de simplement y croire et l'utiliser ?

La réponse est très simple. Je cherche à comprendre son fonctionnement pour l'utiliser correctement.

Combien d'entre nous font des demandes à "l'Univers" sans obtenir de réponse. C'est probablement parce que ces demandes ont été mal formulées ou que le "langage" utilisé n'était pas correct.

Je vous donne un exemple un peu ludique certes, mais il expose bien ce que j'essaye de vous dire.
Un jour une amie nutritionniste ma donné une "recette magique" pour perdre du poids et garder une bonne santé. Elle m'a dit : "Si tu n'y connais pas grand chose en valeur nutritive des aliments, il y a une règle toute simple à appliquer : Essaye, à chaque repas, d'avoir dans ton assiette un maximum de couleurs différentes dans tes aliments, et tu ne feras pas d'erreur."
N'y connaissant effectivement pas grand chose en nutrition, je m'empressais d'appliquer "à la lettre" ses recommandations. Après une semaine de repas constitués uniquement de M&M's, je ne voyais aucune amélioration, pourtant, j'appliquais exactement ce qu'elle m'avait dit. :) J'avais des assiettes avec plein de couleurs différentes

Cet exemple est certes un peu "capillo-tracté", voire loufoque, mais il illustre très bien qu'une simple application des recommandations sans connaître le fonctionnement des choses peut nous entraîner sur une façon d'agir, sur une mise en pratique qui est bien loin de la bonne façon de faire de par une mauvaise interprétation.

Pour en revenir au titre de cet article, il en est de même pour les pensées positives. Combien d'entre nous se sont fait dire, à un moment sombre de leur vie : "Il faut que tu aies des pensées positives! Soit positif ! Pense positif !" La majeure partie des gens qui se font dire ces recommandations les appliquent à la lettre et se mettent à avoir des "pensées positives". Ils s'appliquent à penser à de belles choses "positives", comme par exemple :
- La beauté d'u coucher de soleil
- La joie d'entendre le rire d'un enfant
- Le fait de prendre conscient qu'ils sont en bonne santé
- Le fait de prendre conscience qu'ils ont un toit au dessus de leur tête
- Le fait d'avoir des amis chers sur qui ils peuvent compter
- Le fait d'aimer ou d'être aimé
- Le plaisir de regarder un bon film le soir, enroulé dans une "doudou"
- Le plaisir de pouvoir partir en vacances, ou simplement le fait d'être en vacances...
Bref, des centaines d'exemples propres à chacun pourraient alimenter cette liste. Mais pourtant, ces personnes prennent parfois conscience que, malgré ces "pensées positives", leurs souhaits ne se réalisent pas, leur situation n'évolue pas, leur vie ne s'améliore pas... Alors pourquoi ?

Simplement parce que le concept des "pensées positives" a été mal interprété et mal utilisé. Alors qu'y a-t-il derrière ce concept des "pensées positives" qui parait tellement simple ?

Faisons un petit retour en arrière de quelques milliers d'années... L'univers est géré par des lois qui n'ont absolument rien à voir avec notre conception des choses. Par exemple, il est souvent dit : "Pour recevoir de belles choses, répand le bien autour de toi et il te reviendra de belles choses. Sème le bien et tu récolteras le bonheur. Les gens qui font du mal autour d'eux le paieront un jour... " Ce concept n'est pas exact (sans pour autant être complètement faux, mais il doit être nuancé), car l'univers n'a aucune notion de "bien" ou de "mal", car cette notion dépend de notre vision des choses et est une invention purement "humaine". Par contre, l'univers est régit par la notion d'équilibre et de déséquilibre, mais cet aspect serait trop long à développer ici et fera (peut-être) l'objet d'un autre article. Il en est de même pour le langage (voilà pourquoi je voulais revenir de quelques milliers d'années en arrière). Le langage est une invention purement humaine qui a été inventé il y a des milliers d'années et n'a rien à voir avec le langage de communication avec l'Univers, qui lui n'est pas issu d'une invention ou d'un besoin humain (là aussi, ça demanderait un autre article...).

Bref, tout ça pour dire que nous basons notre certitude de fonctionnement des choses sur des concepts inconnus de l'Univers, et il en est de même pour les pensées positives.

Alors comment utiliser les "pensées positives" ?

Ce concept n'est pas d'avoir de belles images en têtes, mais doit s'appliquer dans la formulation de nos demandes. L'univers ne connait pas la notion humaine de tournure de phrase positive ou négative et ne prend en compte que les images que nous avons en tête au moment de notre demande. Voici un exemple :

Si je veux quitter mon travail actuel, il est très probable que ma demande soit "J'aimerai ne plus travailler pour cette compagnie". Au moment de formuler cette demande, nous visualisons probablement les bureaux de cette même compagnie ou notre désagréable directeur. Dans ce cas, l'Univers va percevoir les mots : "travailler" - "pour" - "compagnie". et capter ces images que nous avons en tête au moment de notre demande et va donc favoriser cette demande en fonction des éléments qu'il a perçus. Il ne va pas "capter" la négation.
Il aurait été plus efficace de demander : "J'aimerai travailler pour une autre compagnie". en utilisant la tournure "positive" dans la demande et se visualiser des bureaux agréables ou un directeur sympathique.

Un autre exemple serait "Je souhaite ne plus être seul dans la vie" Les mots captés seront : "souhaite" - "être seul", et l'univers équilibrera les choses pour installer cette situation. et vous resterez seul. Votre demande aurait du utiliser la tournure "positive" du style : "Je souhaite être accompagné dans la vie". Vous installez alors une pensée "positive" (d'un point de vue de la tournure de la demande en opposition à la tournure négative), et l'univers pourrait alors modifier les choses pour retrouver un équilibre en fonction de cette nouvelle demande.

Mais ceci n'est que la première étape. L'application efficace d'une pensée positive ne s'arrête pas là, il faut la faire durer, l'entretenir, intégrer votre demande dans votre quotidien comme si il ne suffisait plus que d'attendre qu'elle se réalise, sans douter de son arrivée (C'est une étape assez difficile, j'en conviens, mais indispensable). Il faut profiter de la réalisation de votre commande tout comme vous profitez de votre nouveau set de patio sur votre terrasse que vous venez de commander et dont vous profitez déjà des plaisirs qu'il va vous apporter en le visualisant, alors que concrètement, il n'est pas encore là...

Il sera toujours très agréable de visualiser un coucher de soleil ou d'entendre le rire d'un enfant, mais si vous vous employez à mettre en pratique ce concept des pensées positives, pensez à l'utiliser dans la tournure de vos demandes, et pas uniquement dans la visualisation d'images agréables.

Voilà pourquoi il est utile de toujours chercher à comprendre "comment" fonctionnement les choses, pour éviter une utilisation ou une interprétation erronée.



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Des analogies si différentes...

Le monde des illusions optiques est bien connu de tous et même amusant. L'image de gauche en reprend une bien connue qui fait la preuve irréfutable que notre perception des choses peut être déjouée au point d'avoir des certitudes complètement erronées. Le principe est très simple... Fixez la croix au centre de l'image et vous verrez un point vert se promener autour d'elle, au point de faire disparaître tous les points roses... Étonnant non ? Il existe même des illusions auditives dans certaines chansons.

Mais si notre perception des choses peut être altérée à ce point, qu'en est-il des choses vraiment importantes dans notre vie vis-à-vis de notre entourage. Bien souvent, sans nous en rendre compte, nous entendons ce que nous voulons entendre, et non ce qui est réellement dit. Nous voyons ce que nous voulons voir et comprenons ce que nous voulons comprendre.
En fait, nous cherchons simplement dans notre entourage les preuves de nos certitudes pour se rassurer et garder une image valorisante de notre ego. Pas facile de prendre conscience que nous avons fait des erreurs ou que notre jugement est faussé.
Mais les conséquences de ce "nombrilisme inconscient" vont encore plus loin car, non content d'interpréter les choses pour prouver la véracité de nos jugements, nous fermons nos capteurs aux informations qui pourraient justement nous aider et nous remettre dans un monde d'échange, de partage et d'apprentissage.

Dans bien des situations...
Nous entendons, mais n'écoutons pas...
Nous voyons, mais ne regardons pas...
Nous acceptons avec doute au lieu de faire confiance...
Nous bâtissons un jugement au lieu de juste profiter...
Nous attendons les solutions au lieu d'aller les chercher...
Nous savons très bien ce que nous ne voulons pas au lieu de savoir ce que nous voulons réellement...
etc.

Bref, nous vivons dans un monde d'illusions rassurantes à nos yeux car nous projetons sur notre propre décor les images que nous souhaitons voir.

Le monde qui nous entoure est un miroir sans tain
Qui n'est que le reflet de ce que nous voyons
Mais pour qui sait percer cet écran d'illusions
S'ouvriront à jamais des paysages lointains

Comment faire pour briser ce reflet ? Remettez en question vos jugements et vos certitudes. Partez à la chasse de toutes ces habitudes qui vous engluent et forcez-vous à les changer. Expérimentez, ouvrez vos sens, remettez vos "compteurs à zéro", désapprenez tout ce que vous avez appris (ou cru apprendre) et réapprenez par l'observation, par votre instinct, par votre cœur. De petite failles vont alors s'ouvrir dans ce voile grisâtre de la vie et vous pourrez entrevoir toute l'immensité de ce monde à qui vous aviez fermé la porte jadis.



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Parfois je me souviens...

Quand le jour épuisé tire sa révérence et que la nuit couvre le ciel de son drap d'ébène, quand les bruits de la vie s'estompent au point d'entendre le retour galopant de nos pensées, profitant de cette brèche pour s'infiltrer dans notre esprit et remplir ces moments de divagation, parfois, lors de ces moments, je me souviens...

Je me souviens de ces moments où je riais sur les genoux de mon grand-père, je me souviens de ce premier jour d'école où il me fallait affronter, désarmé, un monde inconnu, je me souviens de ces personnes que j'ai croisées et qui ont contribué à être qui je suis aujourd'hui, ces personnes que j'ai côtoyées, que j'ai haïes, que j'ai aimées, de ces personnes dont je ne me rappelle plus et ces personnes gravées à jamais dans mon esprit.

Je me souviens de ces valeurs que j'ai toujours défendues, au prix d'être différent et souvent solitaire, de ces promesses que j'ai toujours tenues à l'exception d'une qui grave encore mon cœur, de ces moments offerts à une amie blessée ou à un cœur perdu, à ces sourires donnés à des inconnus dans la rue et à ces rires partagés avec des amis chers.

Parfois je me souviens de ces histoires que je me racontais pour m'évader avant de m'endormir, de ces découvertes que j'ai faites quand je me suis mis à explorer le monde des vraies valeurs, je me souviens de ce soir du 17 juillet 1982 où tout a basculé et où j'ai entrepris une quête encore inachevée aujourd'hui.

Parfois je me souviens de ces bords du lac d'Écosse, ou de ce fjord en Suède où j'avais l'impression d'être aux portes du monde. Je me souviens de ces promenades sur la place où le vent balayait des vagues de sables, tout comme ces souvenirs qui défilent dans nos têtes. Je me souviens de ces moments où de retour chez moi je revivais, nostalgique, des moments du passé.

Et puis je me souviens de ce jour enneigé. De ce jour où la vie a fait croiser nos pas. Je me souviens de toi et de tout ce que j'aurai aimé t'offrir et te faire découvrir. Je me souviens de toutes ces choses en moi que tu n'as jamais connues. Je me souviens de toutes ces fausses certitudes qui hantaient ton esprit. Je me souviens de toutes ces choses que j'aurais aimé te dire mais quand le moment s'y prêtait, tu ne m'écoutais pas...

Et puis...

Puis il y a cette promesse que je t'ai faite un soir
Cette promesse d'être là si jamais tu tombais
À maintes tentatives j'ai voulu la renier
Mais mon cœur trop épris ravivait ma mémoire.

Ce cœur trop lapidé aurait du faire valoir
Ces moments de souffrance, d'abandon, de rejet
Mais envers l'amour, fît le vœu de loyauté
Et garda, inflexible, l'espoir de te revoir.

Il parait que le temps efface certaines douleurs
Et agrémente un jour nos souvenirs de douceur
Pour que l'amour survive et que l'espoir renaisse

Je voudrais effacer chaque trace de toi
Mais il y a une chose que je n'oublierai pas
Si un jour tu tombais, je tiendrai ma promesse.



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Ces anges qui nous entourent

Bélénos (ou Bel ou Bélén) est le dieu du soleil et de la santé dans la religion celtique.

"Le brillant", il représente le principe de la lumière, d'où sa fête, Beltaine, qui commémore le retour de la période lumineuse.

Il est le fils du Dagda (Taranis), il est donc la jeune représentation de la lumière.

Il est médecin. À Beltaine (les feux de Bélénos), on faisait passer les troupeaux entre deux feux pour éviter les maladies. Les feux ont été transférés sur le St-jean, au solstice d'été (qui n'est pas une fête celtique). Le culte de Bélénos consistait en rites sacrés autour de grands feux de joie, de préférence sur des sommets. Le Mont St-Michel s'appelait "Tombelaine" autrefois. Tombe-Bélén.

J'ai le plus grand respect pour des traditions anciennes, et je les considère comme des vestiges du passé où la connaissance actuelle était encore bien loin d'être découverte. Je les respecte car elles nous enseignent comment nos ancêtres voyaient les choses et bien souvent, en tirant un enseignement de cette vision des choses, on peut parfois découvrir des aspects et des facettes intéressantes. Les peuples ancestraux avaient, tout comme les peuples d'aujourd'hui soit disant civilisés, besoin de s'accrocher à des croyances, à des dieux à qui ils confiaient leur destin, n'ayant aucune emprise sur lui. 
Mais, très sérieusement, quelle est votre position quand vous lisez ce genre de choses ? Quand on vous annonce que pour des civilisations éloignées, le soleil était un dieu, alors qu'aujourd'hui, on en connait quasiment plus sur lui que sur notre propre planète. 

Et bien, au risque de me mettre beaucoup de personnes à dos et de soulever des vagues de contestations, me traitant d'incrédule et d'hérétique pratiquant le blasphème, tout comme je l'aurais été au temps des mayas en proclamant que cet astre divin n'était pas un dieu, mais une étoile, siège d'une réaction nucléaire qui est à l'origine de sa lumière et de sa chaleur, j'ose avancer aujourd'hui que la notion d'anges, d'êtres de lumière et de demandes à l'Univers, ne sont ni plus ni moins qu'une preuve que l'histoire est effectivement un éternel recommencement et que bon nombre d'entre nous vouent une croyance et une foi en des choses qui ont une explication rationnelle qui n'a malheureusement pas encore été mise en équation. 

"Nisi credideritis, non intelligetis"... Plusieurs traductions sont proposées pour cette phrase latine d'Esaïe chapitre 7 verset 9. "Aie foi si tu veux comprendre", ou "la foi précède, l'intelligence suit" ou encore de manière plus populaire : "Si tu veux avoir une chance de comprendre une chose, tu dois avant tout croire en de cette chose".

Certains m'affirmeront avec la plus sincère des convictions qu'ils trouvent un bonheur profond dans cette contemplation, sans chercher à aller plus loin. Merveilleux ! Mais quel dommage d'être en contemplation d'un simple rideau flottant au vent alors qu'il suffirait de l'ouvrir pour découvrir derrière lui un nouvel univers. Cette image me rappelle ce proverbe chinois qui dit : "Quand le sage désigne la lune, l'idiot regarde le doigt."

Je crois qu'inconsciemment j'ai voulu écrire cet article pour écrire clairement le message que j'ai tenté de passer dans d'autres articles de ce blog comme :
 - "Une vie en cage", 
 - "Existerait-il une conscience supérieure ?", 
 - "Serions-nous devenus des êtres télécommandés?", 
 - "Nous, une espèce comme les autres.", 
 - "Ces chemins oubliés", 
 - "Anges, fantômes ou esprits? Avons-nous déjà ces présences en nous ?"
-  "Les anges humains et les démons humains"
 - "Nos aptitudes ignorées - Notre pouvoir d'auto-guérison"
 - ou encore "La théorie de la toile universelle"

Tous ces articles n'ont nulle autre prétention que de décrire ma conviction qu'il est indubitable que nous vivons sur la scène d'une pièce de théâtre, régie par un machiniste, un accessoiriste et toute l'équipe qui se trouve derrière les décors et en coulisses, avec toute la machinerie nécessaire pour créer un environnement illusoire sur scène, scène sur laquelle nous vivons. Mais qui (ou quoi) tient lieu de machiniste, ou d'accessoiriste? Et qui gère la machinerie? Et quelle genre de machinerie?
Je ne peux m'empêcher de vous remettre le lien vers cet article : "Existerait-il une conscience supérieure ?", 

Bref, selon moi, la foi n'est pas une fin en soi mais une clé. Une clé qui ouvre des univers et des mondes inconnus à ce jour, mais pour avoir exploré et analysé bon nombres de phénomènes, je reste convaincu que nous ne sommes que des prisonniers de cette allégorie de Platon (L'allégorie de la caverne) qui, envahis d'un émerveillement contemplatif devant nos propres ombres projetées, dans lesquelles nous ne voyons que ce que nous souhaitons voir, nous n'avons pas la présence d'esprit de remettre en doute nos croyances et de nous retourner, de briser ces habitudes dans lesquelles nous sommes englués, préférant nous rassurer en confirmant nos certitudes par des interprétations tout aussi infondées de ce que nous croyons percevoir et comprendre, que ces certitudes et ces croyances qui nous hypnotisent.


Je vous propose ICI de vous aider à reconstruire le chemin vers votre Renaissance

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Le site internet de "Moz-Rédaction"

Quoi faire ? - Comment faire ?

Dans certains articles de ce blog, je prône la recherche du "Comment faire ?" au lieu d'accepter simplement de se faire dire "Quoi faire ?" et de penser que cette information va relancer notre élan et le développement de nos projets ou de notre évolution. Mais à ma grande surprise, on m'a posé la question à savoir quelle en est la différence fondamentale, car bien des gens trouvent que c'est sensiblement la même chose.

Cette satisfaction de se faire dire "Quoi faire" provient souvent du fait que la personne qui nous en informe commence sa phrase par "C'est simple ! il suffit de..." ou alors "Tu n'as qu'à..." Alors voici des exemples qui je l'espère, porteront un peu de clarté sur cette différence fondamentale à mes yeux. Certains de ces exemples vous paraîtront sûrement basiques, mais pensez-y s'il s'agit d'un domaine dont vous ne maîtrisez pas le fonctionnement... comme la vie par exemple.

Si je veux regarder le journal télévisé, le "quoi faire" est tout simple : Allume la télévision, alors que le  "comment faire" m'expliquerait comment allumer la télévision, et comment utiliser le décodeur.

Si je veux jouer du piano, le  "quoi faire" serait de me dire : C'est simple, tu n'as qu'à apprendre le piano ! Alors que le  "comment faire" se trouve dans de longues heures d'apprentissage à lire les notes et à travailler au clavier.

Si je veux gagner plus d'argent, le  "quoi faire" serait de me faire dire "C'est simple, tu n'as qu'à te trouver un job plus payant !", Alors que le  "comment faire" se trouve dans la rédaction de son curriculum vitae, de la recherche d'employeurs potentiels, de les contacter et d'obtenir des rendez-vous.

La liste d'exemples où le  "quoi faire" semble tellement facile, alors que pour réussir il faut passer au travers du  "comment faire" qui lui, représente souvent beaucoup de travail et d'apprentissage, et c'est cette structure et cette identification de ces étapes à franchir qui constituent bien souvent l'obstacle majeur à nos actions concrètes, et ce, quelque soient les domaines.

Si on veut illustrer ces exemples par une situation très simple, le dessins suivant résume relativement bien ce concept de différence entre le "Quoi faire ?" et le "Comment faire ?"



Alors chers amis, si vous voulez que votre vie change, si vous voulez réaliser vos rêves ou simplement vous sortir d'une situation inconfortable, agissez ! Il est vrai que les solutions se trouvent souvent dans ces phrases qu'on entend régulièrement telles les "Lâche prise !" "Pense à toi !" "Oublie le passé !" "Profite de la vie !" ou tous ces beaux proverbes que l'on peut lire en masse sur les réseaux sociaux, mais ces choses sont les "quoi faire", et non les "comment faire".

Ne tardez pas à mettre en oeuvre des actions concrètes. Nous avons tous tendance à tarder à passer à l'action, comme je l'expliquais dans cet article : "Pourquoi tardons-nous tant à passer à l'action ?". Ne nous faisons pas assez confiance en nos capacités ? Ayez foi en vous et en vos rêves. Arrêtez de croire que les autres vous apporteront la solution ou que celle-ci se présente toute seule à vous et soyez la source principale de vos croyance en arrêtant de vous reléguer en fin de liste des personnes aptes à vous guider (Cf l'article "Pourquoi toujours nous reléguer en fin de liste ?"). Ouvrez-vous au monde, partez du principe que n'importe qui que vous croiserez sur votre route pourra vous apporter ce petit plus pour avancer. Ne jugez jamais personne à l'avance avec cette ridicule certitude qu'il ne pourra pas vous aider, vous comprendre ou vous apporter quoique ce soit. Chaque jour, chaque personne, chaque situation, chaque discussion, chaque contact est un cadeau potentiel, alors ouvrez-le, comme je l'explique dans cet article "Quand on m'offre un cadeau, je l'ouvre !".

Ne mettez pas vos rêves de côté sous prétexte qu'ils sont fous ou que le système ne vous permet pas de les réaliser. Ça prendra peut-être des jours, des mois, des années, mais quand nous partons en vacances, ne nous le sommes pas déjà quand nous prenons la route ? Avant même d'être arrivé à destination ? Alors ce chemin qui vous mènera vers vos rêves, aussi long soit-il, vous apportera déjà un bien-être car au moins, vous serez en route. La plus petite des actions est bien plus efficace que la plus grande des décisions.

En agissant de la sorte et en ayant foi en vos convictions, vos rêves et surtout en vous mettant en route par des actions concrètes, je vous promets de belles découvertes tout au long de votre chemin en ouvrant les cadeaux qui vont le jalonner, et des cadeaux dont vous n'auriez même pas imaginé l'existence en restant dans votre bulle à vous résigner à accepter votre vie.

Albert Einstein a dit : "La connaissance s'acquiert par l'expérience, tout le reste n'est que de l'information.", Alors ne présumez pas d'une situation ou d'une personne tant que vous n'en n'avez pas vécu l'expérience.



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L'incroyable puissance du phénomène de résonnance

Le 16 avril 1850, le régiment du "11 ème Léger" s'engage sur le pont de la Basse Chaîne à Angers (France). Comme tout régiment qui se respecte, la troupe au complet marche au pas cadencé. Ce pont, dont une image est jointe à cet article, a une structure telle que le poids de plusieurs centaines d'hommes n'est pour lui qu'une très légère charge qui sollicitera à peine ses capacités portantes. Cependant, au fur et à mesure que le régiment avançait sur le pont, celui-ci a commencé à vibrer, à se déformer, à vaciller et pour finir, à s'effondrer, emportant avec lui la vie de 223 soldats. 

Le phénomène de résonance ! Voilà ce qui a détruit le pont. Les coups rythmés appliqués à une structure non calculée pour ne pas subir ce phénomène, vont la faire vibrer jusqu'à la destruction. en fait, la structure va emmagasiner l'énergie de chaque choc provoqué par les talons des soldats et les accumuler. L'énergie d'un coup de talon, même donné par des centaines de soldats n'affecterait en rien la structure du pont, mais tous ces chocs répétés, aussi petits soient-ils, finissent par s'accumuler dans la structure qui vibre d'une façon telle, que chaque choc vient renforcer les vibrations causées par les chocs précédents. La structure va donc vibrer avec une amplitude de plus en plus grande, provoquant alors la rupture d'éléments mécaniques.  

Parfois même, des chocs mécaniques ne sont pas utiles. Juste une vibration engendrée par des bourrasques de vent suffisent à réduire à néant un pont suspendu, comme le montre cette vidéo de l'effondrement du pont de Tacoma, le 7 novembre 1940.


Dans notre univers, tout vibre. allant de nos cordes vocales, en passant par le domaine des sciences, de l'acoustique, de la musique, de la mécanique, de l'électricité, de l'électronique, de l'astronomie, et même des marées ou des déplacements de foules, tout est soumis à des vibrations. Même au niveau des molécules et des atomes, tout vibre. Imaginez alors que nous soyons capable de maîtriser ces vibrations (et là, je parle au niveau moléculaire), de façon à ce que toutes les molécules d'un objet se comportent comme ces ponts qui se sont détruits et restituent toute l'énergie engendrée sous forme de puissance. Nous pourrions alors tirer de l'énergie de chaque parcelle d'air ambiant ou de chaque goutte d'eau. Pourquoi pas aller jusqu'à envisager que faire résonner les molécules de notre corps aiderait à les restructurer et donc, de guérir beaucoup de choses. Quand nous rangeons une boite d'allumettes, n'avons nous pas tendance à faire vibrer la boite pour que les allumettes se réorganisent et s'alignent toutes seules ? Pourquoi ne serait-ce pas pareil avec nos cellules ?

Il existe des prototypes de machines qui produisent plus d'énergie qu'elles n'en consomment, et ce, en tirant profit du phénomène de résonance (dans le domaine électrique par exemple)

Dans le domaine de l'électromagnétisme, le phénomène de résonance pourrait conduire à des situations où il serait envisageable de modifier la structure de l'espace-temps, comme des simples coups de bottes ont modifié la structure d'un pont suspendu. En supposant que cette modification puisse être contrôlée (ce qui ne semble pas encore être le cas... enfin je ne crois pas... quoique !!), nous pourrions envisager des voyages vers des mondes et des endroits inaccessibles à ce jour (comme d'hypothétiques mondes parallèles, ou des voyages temporels). 

Mais... reposons les pieds sur terre un moment, et restons raisonnable de considérer tout d'abord utiliser ce phénomène de résonance pour le bien être de tous et surtout pour récupérer de l'énergie du monde qui nous entoure, sans pour autant l'épuiser. Un voeu bien pieu que de penser cela, car de telles sources d'énergie ont déjà été découvertes il y a bien des années, mais des capitalistes se sont bien sûr empressés de tout faire pour enfouir ces découvertes qui auraient rendu accessible à tous des sources d'énergies infinies et disponibles, ce qui va à l'encontre d'une organisation mondiale basée sur un système monétaire !!!

Bref, quoiqu'il en soit, quand les scientifiques (exempts de toute soif de pouvoir ou d'argent) de ce monde seront débarrassés des politiciens de tous poils, je reste convaincu que nos sources principales d'énergie proviendront de la mise en résonances de systèmes moléculaires homogènes (tel que les cristaux) pour nous fournir sans aucune restriction toute l'énergie nécessaire au fonctionnement de notre civilisation.

Suis-je en train de rêver ??? probablement... mais mon petit côté "scientifique" ne peut s'empêcher d'être convaincu que la résonance sera à la source de bien des sources...

Mais en attendant de trouver toutes ces ressources "résonables", restons "raisonnables" et continuons nos recherches pour offrir à tous, et sans limites, les ressources énergétiques disponibles autour de nous, libérées de l'emprise de certain à les utiliser pour alimenter uniquement leur soif de pouvoir, de richesse et de contrôle.  



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Se vider la tête pour mieux écouter



Nous avons tous des questions sur lesquelles nous aimerions avoir des réponses. Que celles-ci touchent ces interrogations que nous avons concernant un choix que nous avons à faire, des projets que nous aimerions lancer ou simplement avoir parfois la confirmation que nous sommes sur la bonne voix, les réponses peuvent être obtenues en les laissant simplement venir dans notre esprit. Celles-ci peuvent également concerner certaines visions d'avenir. Mais bien souvent, quand je parle de ces réponses qui nous viennent tout naturellement à l'esprit, bien des gens me disent : "J'ai beau essayer de les entendre, mais rien ne vient !...".

Alors comment les entendre ?

Supposons que je me trouve dehors en pleine tempête, et que quelqu’un à côté de moi essaye de me donner la réponse à une question. Il y a de fortes chances que je n’entende que: « Il faut… car le… important… surtout… simple…! » Cette réponse devient à ce moment-là incompréhensible, car le bruit de la tempête m’empêche de l’entendre clairement. Probablement qu’alors mon ami me dira qu’il va attendre un moment où je serai mieux disposé à entendre ses réponses.
Eh bien! dans la vie, c’est exactement la même chose… Si nos idées sont embrouillées, si notre tête est remplie des questions qui se bousculent, notre esprit est alors habité par une tempête bruyante qui nous empêchera de percevoir clairement les réponses que la vie apporte aux différentes questions que nous nous posons.

Dans ce processus consistant à découvrir qui nous sommes et à déterminer la route que nous devons suivre, nous avons besoin d’entendre clairement certaines réponses aux questions que nous nous posons. Il va donc falloir vider notre esprit de ces questions afin de laisser aux réponses de la place pour s’implanter. Bref, calmons la tempête de nos idées pour que des réponses claires nous parviennent. Comment faire ? Eh bien! il y a un petit exercice tout simple qui marche assez bien.

Lorsque nous sommes calmes, en paix, passifs, en train de prendre un café sur une terrasse, de boire une bière sur le patio, ou simplement pendant ce moment où nous sommes allongés dans le lit, nous détendant avant de nous endormir, c’est dans ces moments-là que nous devons vider notre esprit des questions encombrantes pour que les réponses, qui attendent dehors et qui n’ont pas la place de s’implanter, puissent venir nous éclairer.

Donc, dans ces moments de grande tranquillité, imaginez, tel qu’il est représenté sur l’image de cet article, que vous avez dans la tête une multitude de points d’interrogation qui se bousculent pour prendre toute la place. Ce sont des questions. Ce sont ces mêmes questions qui vous occupent l’esprit en permanence et qui absorbent toute votre attention et votre concentration.
Toujours par l’imagination, prenez conscience que ces points d’interrogation sont en cire et que vous faites lentement augmenter la température à l’intérieur de votre tête. Imaginez alors tous ces points d’interrogation en train de fondre, de se ramollir, de couler, et imaginez toute cette cire fondue s’évacuer, par exemple par vos oreilles. Prenez alors conscience de tout le vide qu’ils ont laissé derrière eux une fois qu’ils sont tous fondus. Concentrez-vous alors sur cet espace nettoyé que vous avez imaginé dans votre tête et conservez ce vide aussi longtemps que possible en repoussant toute question qui tenterait de venir s’y immiscer à nouveau. Et, tout en gardant ces questions éloignées, accordez une attention particulière à ce qui vient naturellement s’implanter dans cet espace vide.
Il y a de très bonnes chances pour que vous viennent des images sur un sujet auquel vous n’aviez absolument pas prévu de penser. Et très souvent, ces images vont vous apporter des réponses à des questions ou à des problèmes pour lesquels vous n’aviez pas trouvé de solution. Peuvent également venir s’implanter des images qui vous feront voir certaines choses habituelles, mais d’une autre manière, sous un angle différent, de façon à éclaircir leur compréhension et à vous faire prendre conscience de certaines choses auxquelles vous n’aviez pas pensées. Pratiquez régulièrement cet exercice consistant à faire fondre ces points d’interrogation qui occupent votre esprit, et vous verrez que, de plus en plus, des réponses viendront a vous.

Sans vouloir sortir concept de ce blog, mais ayant fait souvent allusion dans d'autres articles aux possibilités beaucoup plus grandes de pousser cette démarche pour rechercher ce qui est en nous par l’évocation des vies antérieures, mentionnons que cette technique de se vider l’esprit et de laisser place aux réponses est largement utilisée par beaucoup de personnes pour percevoir des éléments de l’avenir, pour développer des visions « extra-sensorielles ». Mais nous ne développerons pas ici ce sujet qui demanderait un approfondissement qui pourrait se faire par des entretiens d'entrainement.

Bref, arrêtez de vouloir entendre ce que vous voulez entendre, et laissez, pour une fois, cette petite voix s'exprimer librement et, après plusieurs tentatives et des exercices répétés, vous verrez qu'elle a une multitude de belles choses à vous dire :) 



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Un drôle d'éditeur


Il n'est pas dans ma nature de me révolter contre l'idée ou l'opinion des gens, bien au contraire. C'est principalement dans l'échange d'idées et de remise en question de nos certitudes que les choses progressent. Mais là, je pense que je me devais de réagir...

J'étais en train de bâtir un beau projet d'émission de télévision basée sur mon livre "Le Petit Guide de ma renaissance". Pour ce faire, j'avais décidé d'entreprendre les démarches pour pourvoir à sa réédition. J'ai donc envoyé ce projet à plusieurs éditeurs. Bien sûr, j'ai eu des refus, et trouvant ça "normal", je n'en faisais absolument pas état et continuais dans mes démarches. Mais un éditeur, dont par respect je tairais le nom, m'a expliqué ce qui a motivé son refus.
Avant de vous dévoiler sa réponse, je vous rappelle que l'idée maîtresse du livre est d'aider les gens à passer du "Quoi faire?" au "Comment faire?". Bien des gens savent quoi faire pour changer leur vie, ou l'améliorer, mais en fait, bien peu savent comment faire. Ce "petit Guide" a été rédigé dans ce sens.

Bref, lui expliquant en quelques mots ce que le livre pourrait apporter aux gens, voici sa réponse (mot pour mot...)
Je cite :
- "Vous êtes français et ça parait en ce sens que vous allez dans les subtilités de la langue. Pour le québécois ordinaire, il n'y a pas de différence entre "Quoi faire ?" et "Comment faire ?". Malheureusement, la plupart de mes compatriotes dénigrent l'érudition."  - Fin de citation -

Cher éditeur. N'est-ce pas justement votre rôle de distribuer cette soit-disant érudition par le biais de vos ouvrages ? Auriez-vous complètement occulté le sens de votre mission ? Ou celle-ci ne se résume-t-elle qu'à engranger des bénéfices en ne publiant que des ouvrages "basiques" que le "québécois ordinaire", pour reprendre votre expression, aura l'impression de comprendre ?

Chers amis publiés, j'espère que vous avez été publiés par des éditeurs un peu plus "érudits", sinon, la publication de vos ouvrages confirmerait une certaine bassesse dans la transmission du message que vous avez souhaité transmettre avec tout votre cœur.

Pour en finir avec ce "coup de gueule"... Je tiens néanmoins à adresser tout ma sympathie à cet éditeur qui n'a manifestement pas compris l'importance de son rôle et qui de surcroît m'expose au travers de sa remarque son niveau d'érudition, comme il dit si bien. La différence entre "Quoi faire?" et "Comment faire?" me parait évidente, mais pas pour lui apparemment.

J'espère un jour rencontrer de nouveau cet éditeur au fond d'un puits. Me demandant de l'aide pour sortir, je lui répondrai avec un sourire :
- " Je vais vous dire quoi faire. Pour retrouver votre liberté, sortez du puits ! C'est ce que vous devez faire. Quant au "Comment le faire", inutile de vous l'expliquer, puisque pour vous, il n'y a aucune différence..."

Aux personnes qui liront ce message, si vous êtes un éditeur et que vous prenez votre véritable mission à coeur, ne serait-ce que de vouloir me prouver qu'il existe encore des éditeurs qui croient encore en l'érudition au Québec et qui seraient susceptibles d'être intéressés par l'édition de mon livre, je serai heureux de répondre à son offre. Si par contre, sans être éditeur, vous êtes en contact avec un "vrai", merci de me transmettre ses coordonnées.


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Renaître et enfin vivre...



Dans ce monde d’illusions où tout n’est qu’apparences
Où chacun et chacune se farde d’un décor
Pour paraître et se fondre comme d’un commun accord
Aurions-nous tous perdu l’essence de notre enfance

Une femme pour séduire s’habillera de fragrances
Et cet homme peu confiant, mettra sa montre en or
Mais ces parures futiles sont-elles utiles encore
Quand l’essence même de l’âme s’habille de transparence

La valeur d’un cadeau se trouve à l’intérieur
L’histoire au cœur d’un livre se trouve dans les pages
Alors pourquoi accorder une aussi grande valeur
Aux éphémères parures masquant notre vraie image.

Soyons nus, soyons « nous », au diable les apparences
Le bonheur se nourrit de qui nous sommes en vrai,
Ouvrons donc nos armures et redonnons un sens
À cet être que nous sommes, à notre personnalité.

À trop vouloir paraître, nous brimons notre cœur
Laissons-le s’exprimer, laissons-le respirer
Laissons le profiter de cet immense bonheur
D’être enfin qui il est, de rire et de chanter

Imaginez un jour, sur votre lit de mort
Faire un bilan complet de votre vie vécue
Regarder en arrière et rongé de remords
De faire l’amer constat que vous n’avez pas vécu



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Existerait-il une "conscience" supérieure ?



J'ai parfois la triste impression que de nos jours, personne ne s'étonne plus de rien, ou plutôt, personne ne cherche à faire le lien entre ces choses merveilleuses qui nous entourent sans prendre conscience que quelque chose semble gérer notre univers.

Ciel ! Que voilà une affirmation digne de débats les plus vaporeux et ésotériques les uns que les autres, mais que voulez-vous, cette indignation de la banalisation de ces merveilles qui nous entourent me fait parfois porter un triste jugement sur l'inconscience des gens de cette incroyable merveille du monde naturel qui nous entoure. 

Parmi les milliers d'exemples qui pourraient illustrer cette dernière affirmation, prenons celui de l'évolution. Je regardais dernièrement un documentaire sur ces espèces étranges qui peuplent notre monde sous-marin et à chaque espèce présentée dans ce document, j'étais vraiment subjugué de voir combien cette espèce avait su évoluer pour s'adapter au monde dans lequel elle vit. En fait, toutes les espèces sur terre, qu'elles soient animales ou végétales, s'est incroyablement bien adaptée au monde qui l'entoure sauf une : l'espère humaine qui a eu un jour l'incroyable vanité de vouloir adapter le monde à sa manière de vivre. 

Pour illustrer cette dernière affirmation, voici une partie de l'introduction du film "Les Dieux sont tombés sur la tête".Il est simplement fait une comparaison entre les peuples qui vivent de et dans la nature, à ces êtres civilisés que nous sommes devenus.... Sommes-nous vraiment ceux qui sont censé avoir "évolué" ? Voici cet extrait : 
"Dans les grandes villes, on trouve les être civilisés. Les êtres civilisés ont refusé de s’adapter à leur environnement naturel. Ils ont adapté leur environnement à leur convenance. Alors l’être civilisé a construit des routes, des villes, des véhicules, des machines et pompé l’énergie du sol pour économiser son labeur. Mais il ne savait pas comment s’arrêter. Alors pour améliorer son environnement, pour se faciliter la vie, plus il se la compliquait… Et maintenant, ses enfants sont condamnés à 10 ou 15 ans d’études rien que pour apprendre à survivre dans le monde complexe et périlleux où ils sont nés… Et l’être civilisé, ayant refusé de s’adapter à son environnement matinal découvre aujourd’hui qu’il doit s’adapter et se ré-adapter chaque jour au cadre de vie qu’il s’est lui-même donné !! Par exemple, si le jour s’appelle «lundi» et que les chiffres «6-30&» apparaissent, vous devez vous désadapter de votre cadre domestique et vous réadapter à un environnement entièrement différent. À «8-00», tout le monde doit s’activer… «10-00», on cesse de s’activer, pendant 15 minutes. Ensuite, on recommence à s’activer… Ainsi, notre journée est découpée en petits segments qui nous obligent à chaque fois à s’adapter à de nouvelles circonstances… Et on tombe parfois sur des gens qui ont vraiment des problèmes… Alors que dans la nature, c’est toujours mardi, ou jeudi, ou même dimanche… pas d’horloge, pas de calendrier pour dire de faire ceci ou cela… Mais on est des êtres civilisés clamant notre liberté de choisir à tout moment le chemin de notre vie !!!"

Bref, excluant la vie en société, il est incroyable de constater combien les espèces se sont adaptées à leur environnement, même les humains. Si vous avez eu la chance de visiter le château de Versailles, en France, vous constaterez avec étonnement combien les lits sont petits. En quelques décennies  la taille moyenne des êtres a augmentée, et je passe sous silence toutes ces évolutions qui nous ont marqués pendant des millénaires, témoin en est le coccyx qui serait un résidu atrophié d'un ancien appendice caudale (bref, une queue). 

Mais là n'est pas mon plus grand étonnement, car cette évolution ou devrais-je plutôt dire cette "gestion" du maintien de notre équilibre entre notre morphologie et notre environnement est localisée. Pour m'adapter, j'évolue. L'évolution se fait "localement" sur l'individu. 

Il y a quelques mois, je rédigeais cet article sur la modification de la toxicité des feuilles de certains arbres pour se protéger et dissuader les animaux de venir brouter et dénuder leurs ramures. Ce phénomène m'a impressionné par le fait de constater que les végétaux savaient à ce point s'adapter à leur environnement en allant jusqu'à s'adapter aux herbivores avoisinants. Voici le lien vers l'article ICI 

Mais je n'étais pas encore à la canopée de mon étonnement. Une phrase toute banale glissée dans les commentaires d'un documentaire vint réveiller mon éternel appétit de découverte et de compréhension. Cette phrase qui, j'en suis sûr est passée inaperçue auprès de la majeure partie des auditeurs, m'est apparue comme d'une importance capitale. Je vous la résume :

"Il a été prouvé scientifiquement que les espèces qui deviennent la proie d'un prédateur ont développé, au fil du temps, la capacité à grandir plus vite et de se reproduire de façon plus rapide"

Bien des gens couperaient court à toute réflexion en disant simplement... "Woaw, c'est drôlement bien fait la nature !", mais arrêtons-nous un moment sur cette phrase.

Le fait que les êtres humains ont grandi au fil des années était pour leur propre adaptation. Le fait que les arbres développent des toxines pour faire fuir les prédateurs est pour leur propre survie, donc dans ces cas, c'est l'être qui évolue dans son propre intérêt, mais là, le fait qu'une espèce évolue plus rapidement et se reproduit plus vite parce que les autres membres de l'espèce se font tuer plus rapidement, il y a bien "quelque chose" qui prend soin de gérer ce phénomène dans sa globalité. L'espèce animale évoluerait-elle pour sa propre survie, mais en prenant en compte non pas les individus unitaires, mais l'ensemble de la population. Comment un organisme peut évoluer pour se reproduire plus rapidement sans avoir l'information que les autres se font tuer plus rapidement. Comment l'information a été diffusée ? Qui, ou quoi a trouvé la solution à adapter et à appliquer et qui ou quoi a transmis aux membres de l'espèce les éléments nécessaires pour évoluer en fonction de chose qui arrivent aux autres ? Voyez-vous où je veux en venir ?

Je suis convaincu, et ce dernier élément vient encore renforcer ma conviction qu'il y a une "conscience" ou "inconscience" qui gère l'équilibre global de notre planète, voire même de notre univers. Une "intelligence" qui veillerait au maintien de l'équilibre de chaque entité de notre planète, tout comme "l'intelligence" de notre cerveau prend soin de l'équilibre de chaque cellule de notre corps en les guérissant, en les multipliant ou en les remplaçant. Notre cerveau est capable de sur-développer les alvéoles d'un poumon si l'autre se meurt. Il gère notre système respiratoire dans sa globalité car il en a la gestion pour sa propre survie. Mais là, qui ou quoi a la conscience de gérer une espèce animale dans sa globalité ? pour la survie de qui ou de quoi ? 

Tous comptes faits, ne serions-nous pas que des "cellules" d'une entité plus grande ? Mais laquelle ?



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