Serions nous devenus des êtres "télécommandés" ?

 Et dire que beaucoup d'entre nous disent savoir encore profiter de la vie et de ses beautés. 

L'histoire que je vais rapporter ici est vraie. C'est une expérience réalisée par le "Washington Post" dans le cadre d'une enquête sur la perception, les goûts et les priorités d'action des gens.

Un musicien de rue, un violoniste, était debout dans la station "L'Enfant Plaza" du métro de Washington DC. C'était un matin froid en janvier 2011.

Ce violoniste a joué durant quarante-cinq minutes. Pour commencer, il a interprété du Bach, puis l'Avé Maria de Schubert, ensuite du Manuel Ponce, du Massenet et, de nouveau, du Bach.

À cette heure de pointe (il était près de 8h00 du matin), quelques mille personnes ont traversé ce couloir, pour la plupart en route vers leur travail.

Après trois minutes, un homme d'âge mûr a remarqué qu'un musicien jouait. Il a ralenti son pas, s'est arrêté quelques secondes puis il est reparti en accélérant.
Une minute plus tard, le violoniste a reçu son premier dollar. Sans s'arrêter, une femme avait déposé un billet dans sa soucoupe. 
Quelques minutes plus tard, un quidam s'est appuyé sur le mur d'en face pour l'écouter mais, regardant sa montre, il a commencé à marcher. Il était visiblement en retard.
Celui qui a marqué le plus d'attention fût un petit garçon d'environ trois ans. Sa mère l'a tiré, pressé, mais l'enfant s'est arrêté pour regarder le violoniste. Finalement, sa mère l'a secoué et agrippé vivement afin qu'il reprenne sa marche. Toutefois, en marchant, l'enfant a gardé la tête tournée vers le musicien.

Durant les trois-quarts d'heure de jeu du musicien, 1097 personnes sont passées devant lui et seules sept personnes se sont vraiment arrêtées pour l'écouter un temps.

Il a récolté en tout et pour tout 32 dollars. Quand il a eu terminé de jouer, personne ne l'a remarqué, personne ne l'a applaudi, Une seule personne l'a reconnu sur plus de mille.

Personne ne s'est donc douté que ce violoniste était Joshua Bell (photo encadrée de cet article), un des meilleurs musiciens sur terre. Il a joué dans ce hall des partitions les plus difficiles jamais écrites, avec un Stradivarius de 1713, valant 3.5 millions de dollars.

Deux jours avant de jouer dans le métro, sa prestation au théâtre de Boston avait eu lieu "à guichet fermé" avec des prix avoisinant les 100 dollars la place.

Les questions levées par cette enquête du Washington Post sont les suivantes :

  • Dans un environnement commun, à une heure inappropriée, pouvons nous percevoir la beauté ?
  • Nous arrêtons-nous pour l'apprécier ? 
  • Pouvons-nous reconnaître le talent dans un contexte inattendu ?
Une des conclusions possible de cette expérience pourrait être : 
Si nous n'avons pas le temps de nous arrêter pour écouter l'un des meilleurs musiciens au monde jouant quelques-unes des plus belles partitions jamais composées... À côté de combien d'autres choses exceptionnelles passons-nous ?

La présence de ces gens au concert de Joshua Bell à Boston, était-elle vraiment motivée par l'amour de l'art et des belles choses ou simplement par le besoin d'affirmer son appartenance à une classe sociale ?

Beaucoup d'entre nous sont convaincu d'avoir le contrôle de leurs vies, de prendre soin d'eux, de maîtriser ce à quoi ils s'intéressent, d'avoir le choix dans leurs domaines appréciés. Mais aux vues des circonstances de cette expérience, ne sommes-nous pas devenus des êtres "télécommandés" par une société pour laquelle nous avons abandonné notre vraie nature profonde et notre symbiose avec notre environnement qui tente désespérément de nous offrir tant de belles choses, pour lesquelles nous sommes devenus complètement sourds et aveugles et nous n'en avons même pas conscience.

Ne serait-il pas temps de repartir à l'origine des choses et d'identifier toutes ces choses qui nous "engluent" afin de redonner un souffle de vie à notre vraie nature ?

J'avoue humblement avoir sauté sur l'occasion de publier cette expérience du Washington Post. Elle mets en évidence ce pourquoi "Le Petit Guide de ma Renaissance" a été rédigé.

"Repartir à l'origine des choses et se ré-ouvrir toutes ces routes que nous avons négligées ou oubliées pour se "désengluer" de ce rythme effréné de notre vie que bien souvent, nous nous imposons nous-même, faute de trouver nos propres routes et notre propre vision du monde qui nous entoure."


Si vous avez apprécié cet article, merci de le faire circuler parmi vos amis.

Visitez également...(en cliquant dessus)

Nous, une autre espèce comme les autres

Essayant parfois de repartir à l'origine des choses pour en comprendre l'éventuelle imbrication, et suite à certains faits vécus sortant des limites rigides de notre vision scientifique du monde qui nous entoure, je me suis mis à considérer les points communs entre l'espèce humaine et les végétaux, pour éventuellement identifier certaines similitudes. Aimant repousser les limites du "pourquoi pas", j'ai voulu aller bien plus loin que la primitive comparaison des humains avec les animaux, avec qui nous partageons la classe des mammifères et dont nous nous différencions que par des facultés différentes (J'ai bien dis "différentes" et non "supérieures", car en bien des domaines, nos confrères mammifères nous sont très largement supérieurs). 

Cette considération m'a fait me rappeler un article que j'avais lu il y a des années et dont j'ai réussi à retrouver un contenu similaire sur internet. Le voici : 


Un scientifique a fait cette découverte, lors d'une étude sur les cas de mortalité importante constatée dans des élevages en Afrique du sud.

Dans ce pays existent des élevages d'antilopes appelées koudous, et plusieurs d'entre elles ont été retrouvées mortes de manière inexpliquée dans leur enclos. En cette période de grande sécheresse l'herbe est rare, et pratiquement la seule nourriture qui reste, ce sont les feuilles d'acacias dont se nourrissent volontiers ces antilopes.


Devant le peu de pistes concernant ces morts incompréhensibles, le scientifique a l'idée d'observer l'estomac d'un koudou mort; or il constate la présence de feuilles d'acacias non digérées, comme si la fermentation normale n'avait pas eu lieu.

Après examen des feuilles, il est relevé un taux anormalement haut de tanin, substance produite par les feuilles d'arbres pour se protéger en général de microbes et autres parasites. C'est ce tanin qui a empêché la fermentation et la digestion des feuilles. Mais pour quelle raison les acacias se sont-ils mis à produire ce tanin toxique?

Y a-t-il un lien avec le fait que les antilopes n'ayant que des acacias à manger, elles ont fait subir une forte pression sur ces arbres, avec peut-être une nécessité de se défendre pour les acacias?

Ceux-ci se sentant en danger, ont-ils modifié la teneur chimique de leur sève? Les scientifiques pour prouver et tester cette théorie, ont mimé l'agression des koudous en fouettant avec des cannes les branches d'arbres. Quelques heures après, l'analyse démontre bien que la teneur en tanin des feuilles a fortement augmenté.


Dans la nature, le koudou serait allé manger ailleurs, et ne se serait pas acharné sur un acacia aux feuilles amères; mais dans un enclos, il n'a pas eu le choix. Et donc sa nourriture l'a empoisonné.


Ce fait de défense des arbres, est déjà assez frappant et en un sens extraordinaire, mais ce n'est pas tout.

En fait, notre scientifique a une autre intuition: il prend un petit sac en plastique et le noue autour de l'extrémité d'une branche. Après quelques temps, il vient avec une seringue, pique à travers le sac et aspire l'air contenu.
Après une analyse de cet air, il constate une forte concentration de phéromones, un gaz volatil. Les acacias stressés émettent une forte quantité de ces gaz; ceux-ci, poussés par les vents, entrent en contact avec d'autres arbres à proximité, qui modifient alors également la teneur en tanin de leurs feuilles.

L' arbre en danger se défend en modifiant la composition chimique de ses feuilles, mais il communique également ce danger à ses congénères acacias.


Les indiens d'Amérique disent que les arbres se parlent, et cela devient évident après cette étude."


Cette capacité qu'ont les acacias de dissuader les animaux de manger leurs feuilles, de manière radicale, est une faculté tout à fait étonnante qui nous est complètement inaccessible. Je ne parle pas d'ici d'un système immunitaire, car tout comme le corps humain, l'arbre doit très certainement en posséder un, car il est bien connu que des plantes meurent suite à des maladies ou des "virus", alors que d'autres survivent. Je parle bien ici d'une faculté de modifier "consciemment" notre organisme pour se protéger de "prédateurs". 

Posséder une faculté similaire reviendrait à avoir la faculté consciente de changer le goût de notre sang, voire même de le rendre toxique afin de dissuader les moustiques de nous piquer dès l'arrivée du printemps. Intéressant non ? 

Bref, je me suis donc laissé aller à cette pensée que les arbres et les humains sont tout aussi évolués, mais dans des domaines différents. Ils auraient leur moyen de communication qui nous serait totalement inconnu, leur moyen de protection, très probablement même leur hiérarchie, un système "social", des vieux sages qui enseigneraient aux jeunes pousses le fonctionnement et les "règles" de leur société. Pourquoi pas. Le fait que ces domaines échappant complètement à notre connaissance n'exclue absolument pas leur existence. 

Si nous repartons à la considération basique de nos deux espèces, nous avons comme points communs le fait que nous sommes composés des mêmes molécules (selon des pourcentages et des organisations différentes), nous grandissons, nous cicatrisons, nous luttons contre des maladies, nous mourrons de vieillesse car nous sommes tous les deux animés de la vie. Si notre espèce a évolué en utilisant à l'origine des outils pour se faciliter la vie (os, silex, pierre), les arbres ont probablement également évolué en utilisant d'autres outils, mais non "matériels", des outils qu'ils ont perfectionnés au fil du temps, comme un moyen de communication, une organisation structurée des espaces forestiers pour mieux profiter et partager des ressources naturelles, tout comme les humains ont créé une structure sociale pour s'organiser entre eux (ce qui est loin d'être une réussite en ce qui nous concerne !)

Une chose que nous pourrions avoir en commun et qui permettrait un éventuel "échange" serait peut-être à considérer dans le domaine des "énergies". Quand nous mourrons, il semble qu'une partie "énergétique" de nous même persiste. Alors pourquoi n'en serait-il pas de même avec les arbres ? Et une fois sous forme "énergétique", nos deux espèces ne seraient-elles pas capables de communiquer, rendues au même niveau ? Et tout comme des être humains semblent avoir la faculté de communiquer avec des "fantômes", pourquoi ne seraient-il pas possible de communiquer également avec ces éventuels "fantômes arbres", à mois que ce ne soit déjà possible sous leur forme matérielle...

Quand nous abordons le sujet de la télépathie, (Une hypothèse d'explication scientifique est donnée dans un article de ce blog), nous nous limitons à la communication entre deux esprits humains... et pourquoi ne pas élargir notre vision des choses et y inclure aussi les "esprits arbres" ? Ridicule me direz-vous ??? Peut-être... mais quels sont les arguments qui réfutent une telle théorie, si ce n'est notre "étroitesse" d'esprit. Alors ouvrons grand notre esprit car c'est en ouvrant notre esprit à l'impossible qu'on peut parfois découvrir la vérité.

Les arbres sont des êtres vivants partageant notre planète. Pourquoi ne serait-il pas possible de communiquer avec ?... Pourquoi pas.....

Quand on ouvre son esprit à l'impossible, on peut parfois découvrir la vérité...


Si vous avez apprécié cet article, merci de le faire circuler parmi vos amis.

Visitez également...(en cliquant dessus)