Ces anges qui nous entourent

Bélénos (ou Bel ou Bélén) est le dieu du soleil et de la santé dans la religion celtique.

"Le brillant", il représente le principe de la lumière, d'où sa fête, Beltaine, qui commémore le retour de la période lumineuse.

Il est le fils du Dagda (Taranis), il est donc la jeune représentation de la lumière.

Il est médecin. À Beltaine (les feux de Bélénos), on faisait passer les troupeaux entre deux feux pour éviter les maladies. Les feux ont été transférés sur le St-jean, au solstice d'été (qui n'est pas une fête celtique). Le culte de Bélénos consistait en rites sacrés autour de grands feux de joie, de préférence sur des sommets. Le Mont St-Michel s'appelait "Tombelaine" autrefois. Tombe-Bélén.

J'ai le plus grand respect pour des traditions anciennes, et je les considère comme des vestiges du passé où la connaissance actuelle était encore bien loin d'être découverte. Je les respecte car elles nous enseignent comment nos ancêtres voyaient les choses et bien souvent, en tirant un enseignement de cette vision des choses, on peut parfois découvrir des aspects et des facettes intéressantes. Les peuples ancestraux avaient, tout comme les peuples d'aujourd'hui soit disant civilisés, besoin de s'accrocher à des croyances, à des dieux à qui ils confiaient leur destin, n'ayant aucune emprise sur lui. 
Mais, très sérieusement, quelle est votre position quand vous lisez ce genre de choses ? Quand on vous annonce que pour des civilisations éloignées, le soleil était un dieu, alors qu'aujourd'hui, on en connait quasiment plus sur lui que sur notre propre planète. 

Et bien, au risque de me mettre beaucoup de personnes à dos et de soulever des vagues de contestations, me traitant d'incrédule et d'hérétique pratiquant le blasphème, tout comme je l'aurais été au temps des mayas en proclamant que cet astre divin n'était pas un dieu, mais une étoile, siège d'une réaction nucléaire qui est à l'origine de sa lumière et de sa chaleur, j'ose avancer aujourd'hui que la notion d'anges, d'êtres de lumière et de demandes à l'Univers, ne sont ni plus ni moins qu'une preuve que l'histoire est effectivement un éternel recommencement et que bon nombre d'entre nous vouent une croyance et une foi en des choses qui ont une explication rationnelle qui n'a malheureusement pas encore été mise en équation. 

"Nisi credideritis, non intelligetis"... Plusieurs traductions sont proposées pour cette phrase latine d'Esaïe chapitre 7 verset 9. "Aie foi si tu veux comprendre", ou "la foi précède, l'intelligence suit" ou encore de manière plus populaire : "Si tu veux avoir une chance de comprendre une chose, tu dois avant tout croire en de cette chose".

Certains m'affirmeront avec la plus sincère des convictions qu'ils trouvent un bonheur profond dans cette contemplation, sans chercher à aller plus loin. Merveilleux ! Mais quel dommage d'être en contemplation d'un simple rideau flottant au vent alors qu'il suffirait de l'ouvrir pour découvrir derrière lui un nouvel univers. Cette image me rappelle ce proverbe chinois qui dit : "Quand le sage désigne la lune, l'idiot regarde le doigt."

Je crois qu'inconsciemment j'ai voulu écrire cet article pour écrire clairement le message que j'ai tenté de passer dans d'autres articles de ce blog comme :
 - "Une vie en cage", 
 - "Existerait-il une conscience supérieure ?", 
 - "Serions-nous devenus des êtres télécommandés?", 
 - "Nous, une espèce comme les autres.", 
 - "Ces chemins oubliés", 
 - "Anges, fantômes ou esprits? Avons-nous déjà ces présences en nous ?"
-  "Les anges humains et les démons humains"
 - "Nos aptitudes ignorées - Notre pouvoir d'auto-guérison"
 - ou encore "La théorie de la toile universelle"

Tous ces articles n'ont nulle autre prétention que de décrire ma conviction qu'il est indubitable que nous vivons sur la scène d'une pièce de théâtre, régie par un machiniste, un accessoiriste et toute l'équipe qui se trouve derrière les décors et en coulisses, avec toute la machinerie nécessaire pour créer un environnement illusoire sur scène, scène sur laquelle nous vivons. Mais qui (ou quoi) tient lieu de machiniste, ou d'accessoiriste? Et qui gère la machinerie? Et quelle genre de machinerie?
Je ne peux m'empêcher de vous remettre le lien vers cet article : "Existerait-il une conscience supérieure ?", 

Bref, selon moi, la foi n'est pas une fin en soi mais une clé. Une clé qui ouvre des univers et des mondes inconnus à ce jour, mais pour avoir exploré et analysé bon nombres de phénomènes, je reste convaincu que nous ne sommes que des prisonniers de cette allégorie de Platon (L'allégorie de la caverne) qui, envahis d'un émerveillement contemplatif devant nos propres ombres projetées, dans lesquelles nous ne voyons que ce que nous souhaitons voir, nous n'avons pas la présence d'esprit de remettre en doute nos croyances et de nous retourner, de briser ces habitudes dans lesquelles nous sommes englués, préférant nous rassurer en confirmant nos certitudes par des interprétations tout aussi infondées de ce que nous croyons percevoir et comprendre, que ces certitudes et ces croyances qui nous hypnotisent.


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