Il existe plusieurs dictons qui aident à résoudre des problèmes ou des conflits intérieurs. J'abordais déjà ce sujet dans un article précédent concernant l'ordre des étapes pour changer des choses dans sa vie.
Cet article était basé sur un principe tout simple qui est de se poser les bonnes questions au bon moment. Lorsque nous ne trouvons pas de réponse simple et logique à une question en rapport à notre évolution, c'est peut-être que le moment n'est pas adapté ou que ce n'est pas la bonne question en fonction de la situation et dans ce cas, la question expose un problème au lieu d'appeler simplement une réponse.
Pour en revenir à ces dictons, les premiers qui me viennent à l'esprit sont les suivants :
- L'important n'est pas de trouver la bonne réponse, mais de se poser la bonne question.
- Un problème bien posé est un problème à moitié résolu
- Si la bonne réponse ne vous vient pas à l'esprit c'est que ce n'est pas la bonne question
Vous remarquerez que ces dictions sont tout aussi valables dans le monde scientifique que dans le monde émotionnel. Je vous confirme que dans le monde scientifique, ils fonctionnent très bien, mais revenons au monde émotionnel.
En matière de gestion de son cours de vie, il existe une règle toute simple.
Les questions doivent induire une réponse simple et non pas mettre à jour un problème.
Je m'explique...
Il est important à ce stade de faire une grande différence entre "poser une question" et "poser un problème".
Un problème aura une solution, alors qu'une question aura une réponse. Cette nuance pourrait vous paraître futile, mais elle est à la base primordiale pour différencier les deux. La solution d'un problème se bâtie avec les différentes réponses aux questions. D'où l'importance d'identifier les bonnes.
Repartons de la base et voyons des extraits de la définition du mot "problème" dans le Larousse
Problème :
Voyez que, même si les différentes définitions en fonction du domaine commencent par le mot "question", elles identifient une situation complexe à résoudre qui demande réflexion, donc un problème.
Voyons maintenant la définition du mot "question" (toujours selon le Larousse)
Question :
Cet article était basé sur un principe tout simple qui est de se poser les bonnes questions au bon moment. Lorsque nous ne trouvons pas de réponse simple et logique à une question en rapport à notre évolution, c'est peut-être que le moment n'est pas adapté ou que ce n'est pas la bonne question en fonction de la situation et dans ce cas, la question expose un problème au lieu d'appeler simplement une réponse.
Pour en revenir à ces dictons, les premiers qui me viennent à l'esprit sont les suivants :
- L'important n'est pas de trouver la bonne réponse, mais de se poser la bonne question.
- Un problème bien posé est un problème à moitié résolu
- Si la bonne réponse ne vous vient pas à l'esprit c'est que ce n'est pas la bonne question
Vous remarquerez que ces dictions sont tout aussi valables dans le monde scientifique que dans le monde émotionnel. Je vous confirme que dans le monde scientifique, ils fonctionnent très bien, mais revenons au monde émotionnel.
En matière de gestion de son cours de vie, il existe une règle toute simple.
Les questions doivent induire une réponse simple et non pas mettre à jour un problème.
Je m'explique...
Il est important à ce stade de faire une grande différence entre "poser une question" et "poser un problème".
Un problème aura une solution, alors qu'une question aura une réponse. Cette nuance pourrait vous paraître futile, mais elle est à la base primordiale pour différencier les deux. La solution d'un problème se bâtie avec les différentes réponses aux questions. D'où l'importance d'identifier les bonnes.
Repartons de la base et voyons des extraits de la définition du mot "problème" dans le Larousse
Problème :
- Question à résoudre par un raisonnement scientifique et
constituant un exercice : L'énoncé du problème.
- Question à résoudre dans un domaine quelconque, qui se
présente avec un certain nombre de difficultés, d'obstacles : Le problème de la
faim dans le monde.
- Difficulté mettant dans une situation pénible,
contraignante, contrariante : Avoir des problèmes de santé.
- Conflit intérieur, trouble d'ordre affectif qui empêche un
équilibre psychologique : Avoir des problèmes psychologiques.
Voyez que, même si les différentes définitions en fonction du domaine commencent par le mot "question", elles identifient une situation complexe à résoudre qui demande réflexion, donc un problème.
Voyons maintenant la définition du mot "question" (toujours selon le Larousse)
Question :
- Demande faite pour obtenir une information, vérifier des
connaissances : Répondre aux questions des enquêteurs.
Je n'ai volontairement mis qu'une facette de la définition donnée car elle résume très bien le thème de cet article. Il est bien précisé "Demande faite pour obtenir UNE information". Un enquêteur a un problème à résoudre et il l'élucidera après avoir trouvé les réponses à de multiples questions et non pas simplement à celle-ci "Qui a commis ce délit ?"
Vous voyez où je veux en venir ?
Se poser une question qui n'a pas de réponse immédiate est en fait se poser un problème. Et ce problème pourra être résolu en répondant à toute une série de questions qu'il faudra identifier.
Voilà où je voulais en venir avec cet article. Si vous ne trouvez pas de réponse à vos questions c'est que vous identifiez simplement un problème. Pour le résoudre, il vous faudra trouver les bonnes questions toutes simples afin de franchir une à une les différentes étapes et informations qui vous aideront à trouver une solution au problème.
Une fois ces choses identifiées, nous pouvons à présent exposer les conséquences de mélanger "questions et problèmes".
C'est le pourquoi du titre de cet article. Un problème va souvent créer des effets, des conséquences, alors que les bonnes questions vont nous aider à en trouver la cause.
Je ne pourrai malheureusement pas exposer ici toutes les "bonnes" questions à se poser car celles-ci dépendent de chaque situation propre à chacun, mais voici quelques exemples de "question/problème" pour vous aider à prendre conscience de la différence entre les deux.
J'ai le goût de me faire un beau voyage, mais j'ai l'esprit trop encombré pour en profiter, alors je vais attendre d'être plus serein pour partir...
- Ne pensez-vous pas que justement "partir" vous aidera à vous changer les idées, à vous faire prendre du recul et vous sentir plus serein en relativisant certains aspects de votre "problème" ?
La compagnie d'une personne me plait bien, je me sens bien avec cette personne, mais j'ai un esprit trop encombré pour en profiter et l'inclure dans ma vie, que ce soit amicale ou sentimentale.
- Ne pensez-vous pas que d'inclure cette personne dans votre vie sentimentale ou amicale vous aidera à vous changer les idées et à égayer votre vie de moments agréables et à retrouver le plaisir de vivre de nouvelles choses ? L'absence de cette personne va-t-elle faciliter la résolution de vos problèmes ? Ou la présence et les discussions avec cette personne pourrait-elle vous aider à trouver les bonnes questions uniquement en regardant les choses différemment ? Ou simplement en vivant "autre chose" que ce que vous êtes en train de vivre présentement ?
Plus généralement, on attend souvent que les choses changent d'elles-même. On se dit qu'on va s'habituer, se résigner, accepter la situation ou attendre que les choses deviennent plus claires. Mais ce déséquilibre finira par créer un événement "perturbant" pour vous "forcer à changer". Est-ce bien utile de l'attendre ?
Par où commencer ? Posez-vous déjà la simple question à savoir :
Si vous vous dites ce genre de chose :
- "J'attends de mieux me sentir ou j'attends un événement quelconque avant de faire telle ou telle action"
La question est :
- "Est-ce que ce n'est pas en faisant telle ou telle action que je vais mieux me sentir ?"
En général nombreux de nos conflits intérieurs émanent du sempiternel combat "tête-coeur". En lisant cet article : "Combat tête-coeur, soyez l'arbitre", peut-être y trouverez-vous l'inspiration pour trouver les "bonnes questions"
Vous pourriez me dire, et ce, à juste titre :
- "Si les bonnes questions semble accessibles, pourquoi tant de personnes restent encore dans leur zone d'inconfort ?"
Voici un autre problème... La zone d'inconfort qu'il nous est tant difficile de quitter, de par la peur de l'inconnu, la peur du changement, la peur du jugement et du regard des autres... Cette zone d'inconfort que tant de personnes chérissent inconsciemment pour garder un regard complaisant de la part de leur entourage et attirer à eux de l'attention. Voilà pourquoi les "bonnes questions" dérangent souvent car elles mettent en évidence cette peur ou ce refus d'agir.
Je précise quand même qu'est loin de moi l'idée de porter un quelconque jugement sur ces choses, ayant moi-même eu à faire face à cette inertie au changement mais parfois certains paramètres viennent ajouter une difficulté supplémentaire, comme la charge parentale ou des moyens financiers dont notre société actuelle nous a rendus tant dépendant.
Plus généralement, je vous invite à visionner, peut-être de nouveau, cette vidéo de mon interview. Elle fait le point entre "Quoi faire" et "Comment faire". Le "Quoi faire" est souvent la solution au problème. Le "Comment faire" vous viendra avec la réponse aux bonnes questions.
Vous pourriez me dire, et ce, à juste titre :
- "Si les bonnes questions semble accessibles, pourquoi tant de personnes restent encore dans leur zone d'inconfort ?"
Voici un autre problème... La zone d'inconfort qu'il nous est tant difficile de quitter, de par la peur de l'inconnu, la peur du changement, la peur du jugement et du regard des autres... Cette zone d'inconfort que tant de personnes chérissent inconsciemment pour garder un regard complaisant de la part de leur entourage et attirer à eux de l'attention. Voilà pourquoi les "bonnes questions" dérangent souvent car elles mettent en évidence cette peur ou ce refus d'agir.
Je précise quand même qu'est loin de moi l'idée de porter un quelconque jugement sur ces choses, ayant moi-même eu à faire face à cette inertie au changement mais parfois certains paramètres viennent ajouter une difficulté supplémentaire, comme la charge parentale ou des moyens financiers dont notre société actuelle nous a rendus tant dépendant.
Plus généralement, je vous invite à visionner, peut-être de nouveau, cette vidéo de mon interview. Elle fait le point entre "Quoi faire" et "Comment faire". Le "Quoi faire" est souvent la solution au problème. Le "Comment faire" vous viendra avec la réponse aux bonnes questions.
Vous verrez que souvent, il n'est pas si difficile de les identifier.
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