Le Petit guide de ma Renaissance - Son histoire

Une fois n'est pas coutume, j'ai eu le goût de dédier un article pour "Le Petit Guide de ma Renaissance"... (Vous aurez accès au blog complet par ce lien ICI) Vanité ? Fierté ? Vantardise ? J'avoue très humblement ne pas avoir été motivé par ces choses pour rédiger cet article. Ma principale motivation, qui reste en accord avec l'esprit de ce blog, a été de transmettre un message, de partager mes expériences pour que mes lecteurs puissent à leur tour, les appliquer au quotidien pour s'ouvrir de nouveaux horizons, pour briser ces chaines conventionnelles qui nous retiennent au sol et nous imposent un rythme de vie dans lequel nous sommes très souvent obligés de négliger, voire même d'oublier ce que nous avons au fond de nous, nos passions, nos envies, nos aspirations et cette liberté de vivre des choses selon notre personnalité.

Bref, cet article est destiné à vous faire savoir que rien (ou très peu de choses) n'est pas à votre portée, en restant bien entendu dans les limites du réel et du raisonnable... Alors j'ai décidé de vous raconter un peu l'histoire de ce livre et de ce projet qui sort totalement de mon domaine professionnel et pour lequel j'ai pris le temps d'y consacrer de l'importance et ma passion d'explorer des chemins que seule mon âme et mes envies m'avaient dictées.

En 1995, j'ai été animé d'un irrésistible besoin de raconter mon histoire, histoire de me vider la tête de toutes ces choses qui s'y bousculaient... Étant quand même très personnelle, je décidais alors de la raconter à une feuille blanche... plus d'une centaine de pages après, un livre était né, un livre que j'ai intitulé "La Maison du bord du Lac". Ne le cherchez pas dans le commerce, ce livre n'a jamais été publié, bien que ce ne soit pas faute d'avoir essayé car 42 éditeurs en ont reçu une copie, tant en France qu'au Québec. Mais ce "non-aboutissement" ne m'a découragé en rien dans mon plaisir d'écrire et de transmettre ce que mes multiples réflexions m'avaient enseigné sur la vie. 

Ce premier livre raconte mon enfance et cet événement principal qui a conditionné toute ma jeunesse. L'histoire commence alors que j'ai sept ans et le livre s'achève, (je dis bien "le livre" et non "l'histoire", car celle-ci continue encore aujourd'hui), ce livre s'achève à l'âge de vingt-quatre ans. Il retrace, dans les moindres détails, ce cheminement que j'ai parcouru, ces différents événements que j'ai eu à vivre, ces situations que j'ai rencontrées ces moments de grande interrogation sur le fonctionnement des choses et surtout, ces épreuves que j'ai eues à traverser. Puis, suivant le fil de mon évasion en le rédigeant, j'ai laissé libre cours à mon imagination et l'histoire de ce livre se transforme peu à peu en conte fantastique. Ce passage dans le monde de l'imaginaire m'a permis de retranscrire certains aspects de la vie auxquels j'ai eu à faire face en recréant des situations "non réelles" pour pouvoir mettre en évidence ces épreuves que nous avons parfois à traverser et pour lesquelles j'ai fait appel à ces merveilleuses ressources que nous avons en nous. Ces épreuves symbolisaient les problèmes du choix, de l'implication, de l'engagement, du doute, de la tentation et de ces situations qui sont autant d'obstacles à la poursuite de notre chemin intérieur. Pour traverser ces épreuves, le héros a du faire appel à son instinct de survie, à sa foi, à sa détermination et surtout à sa confiance en cet être "magique" qui habite chacun de nous et à qui nous ne prêtons que trop rarement une oreille attentive et encore moins notre confiance. Ce livre se termine par un bilan de ces situations que notre héros a eues à traverser et des informations sur le "comment" fonctionnent les choses. 

Prenant toujours plaisir d'aborder ces sujets et de les partager avec des personnes à l'esprit ouvert qui ont, elles aussi découvert ces chemins dérobés qui mènent à des facettes merveilleuses de la vie, j'ai eu grand plaisir à m'évader durant de longues soirées avec une amie, en abordant justement ces "coulisses" de la vie et les différents mécanismes qui la composent. Nous étions allés très loin dans cette exploration, quand un soir, elle me propose sur un ton rempli d'évidence : "Il faut que tu fasses des conférences ! Je trouve les salles, je trouve les gens à inviter et toi, tu parles !" En moins de deux secondes, le deal était fait ! Animé de ce nouveau défi à relever, je préparais une première ébauche de texte proposant les différents sujets à aborder. Au début du mois de juin 2009, armé de ce premier jet de plan de conférence, je l'appelle pour lui lire. Elle décroche. Sa voix est terne et triste, dénuée de saveur et sombre comme une nuit sans lune. "Qu'est-ce qui se passe ?" lui dis-je. Elle avait reçu le diagnostic de sa dernière visite médicale. Le cancer était en train de la ronger. Deux mois après, il l'a emportée, me laissant orphelin de cette personne magique, de cette personne avec qui le temps s'arrêtait ou passait trop vite, de cette personne qui était mon miroir et dans les yeux de qui j'apercevais parfois une parcelle de mon monde imaginaire, monde duquel elle semblait venir parfois, de cette personne avec qui j'avais retrouvé le goût de rire, de cette personne qui avait mis de la lumière devant mes pas, de cette personne qui m'avait fait découvrir cette route qui semblait se diriger vers le bonheur. Bien évidemment, ce projet de conférence venait de mourir, faute d'oxygène.

Un an plus tard, son départ me touchait encore. Mais cette solitude m'a imposé le fait de faire face à d'autres obstacles que je ne pouvais franchir qu'en allant encore plus loin dans l'exploration et la compréhension de nos ressources intérieures, et ce, dans des domaines et des directions multiples et variées. J'ai découvert des ressources vraiment puissantes et étonnantes de par leur accessibilité mais surtout par cette ignorance que bien des gens leur accordent.

Voyant qu'aborder ces ressources et cette vision du fonctionnement des choses avec plusieurs personnes avait permis de leur ouvrir de nouveaux horizons et de franchir des obstacles qui obstruaient leur vie depuis bien des années, cette idée de conférence germait à nouveau dans mon esprit. Je me mis à l'ouvrage, mais seul cette fois, et montait toute une présentation pour partager mon point de vue. Ne voulant pas oublier des points importants lors de mes présentations, je me suis mis alors à rédiger complètement tout ce qu'il y avait à dire pour commenter les diapositives. Ceci étant fait, il n'y avait qu'un pas pour répondre à cette question qui était : "Comment transmettre ces choses facilement sans pour autant monopoliser les gens à venir écouter ma conférence ?" La réponse fût immédiate. Compiler tous ces commentaires et ces écrits dans un livre. Il était né !

Motivé toujours par cette passion de faire évoluer mes projets, j'entamais à nouveau cette croisade anonyme de l'envoi à des éditeurs, au cas où... juste pour me donner bonne conscience, la même "bonne conscience" qui nous anime quand nous achetons un billet de loterie parce qu'on a entendu que la cagnotte était de 50 millions de dollars. Les réponses commençaient à rentrer. "Nous ne publions pas ce genre d'ouvrage", "Notre cota de l'année est atteint", "Votre manuscrit n'a pas été retenu par notre comité de lecture"... Bref, des réponses auxquelles j'avais été habitué et qui, de ce fait, ne m'affectaient pas vraiment, quoique... 

Puis un jour de novembre 2010, une amie m'invite à aller à un lancement de livre. "Viens !" dit-elle, "Tu rencontreras des gens du milieu et qui sait, tu te feras de nouvelles connaissances !" Prônant dans mon livre le fait de dire "oui" à la vie, bien qu'en général, on dit que ce sont les cordonniers les plus mal chaussés, il aurait été bien mal venu de refuser cette invitation. Je l'accompagnais. Je ne connaissais personne, à part mon amie. J'écoutais cet auteur qui présentait avec une légitime fierté, son ouvrage, quand il pointa une personne dans l'assistance, qui se trouvait à deux pas de moi, en disant "je remercie également mon éditeur qui nous fait l'honneur de sa présence aujourd'hui." Un éditeur... Voilà peut-être pourquoi la vie m'a incité à assister à ce lancement de livre qui ne me motivait en rien. Après une brève absence, le temps d'aller chercher un manuscrit dans ma voiture, car j'en avais toujours deux ou trois... au cas où... je revenais auprès de cette personne en disant : "Il parait que parfois, nous sommes au bon endroit, au bon moment, pour croiser la bonne personne. J'ai écrit un livre. Acceptez-vous de lire mon manuscrit ?" Accueillant ma requête avec un sourire amical, mon manuscrit changeait de main. Deux semaines plus tard, mon cellulaire sonne. Monsieur Fachon ? Denis Saunier à l'appareil. Ma femme et moi avons lu votre manuscrit et nous avons vraiment beaucoup aimé. Je vous envoie une proposition de contrat de publication. Le 6 février 2011, c'était moi qui me tenait derrière le micro, dans cette même salle où la vie m'avait menée quelques mois auparavant, parce que je lui avais dit "oui".

À mon tour de remercier en public cet éditeur qui avait lui aussi accepté de dire "oui" et surtout une occasion de rendre hommage publiquement à cette amie, qui nous avait quitté un an et demi auparavant et qui était toujours là, quelque part autour de moi.       

C'est un autre "au cas où", "pourquoi pas", "On ne sait jamais", un soucis de partager mes visions, mes projets et mes souhaits, qui a embelli cette histoire d'un nouveau développement. Une interview télévisée en direct...  Interview que je vous présente en fin de cet article.

Au cas où il vous aurait échappé, le message principal de cet article, contrairement aux apparences auxquelles il ne faut faire confiance qu'avec une grande prudence et un recul suffisamment avisé, le message principal, donc, est cet indestructible foi que vous devez avoir en vos projets, vos souhaits, vos rêves. Ouvrez votre imagination, ne vous laissez jamais freiner par quelque obstacle que ce soit. Si il est immense, ça prendra peut-être juste plus de temps à franchir, mais ça ne le rend en rien infranchissable. Patience, foi, détermination sont des alliés qui vous feront réaliser tant de choses...

Je suis ingénieur civil... Qui aurait misé sur moi dans la publication d'un livre et de sa présentation en direct sur une chaîne de télévision... à part mes parents qui ont toujours eu une foi inébranlable dans les capacités de leurs trois fils (mais quel parent ne l'est pas ???), personne ne m'aurait attribué ce genre de réalisation. Alors ayez foi en vous, n'accordez aucune importance à ces capacités ou ces faiblesses que les autres vous accordent. Ayez foi en vos rêves, alimentez les du plus profond de votre coeur et votre seule crainte doit être de ne pas avoir assez de temps pour réaliser tout ce que vous souhaiteriez réaliser.

Un dicton chinois dit : "Le chevalier a réussi à terrasser le dragon car il ne savait pas que c'était impossible"    

Je vous souhaite, en ce temps des fêtes, la réalisation de vos rêves...

Et chose promise... chose due, voici la vidéo de l'interview télévisée pour présenter "Le petit Guide de ma Renaissance"




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Elle s'appelait.... Elle s'appelle Édith

Face à une épreuve...

Quand la vie nous met une épreuve sur notre route, outre le chagrin qu'elle peut nous infliger, il est naturel de ressentir une peur, une angoisse, un doute sur notre capacité à la traverser. Qu'elle soit matérielle, financière, émotionnelle ou événementielle, les épreuves sont autant de "dos d'ânes" qui jalonnent notre route, nous freinent, cassent notre élan, monopolisent notre attention, nos pensées, développent nos craintes et alourdissent cette masse pesante qui semble s'installer sur nos épaules.

Notre corps est composé à environ 65% d'eausoit environ une quarantaine de litres... Impressionnant non ? Et bien pourquoi ne pas tirer profit de cet élément naturel qui nous compose et adopter son comportement ? Oui, oui... Adoptons le comportement de l'eau.

En fait, on le fait déjà en partie. Pour que l'eau résiste à des chocs et à des impacts, il faut la transformer en glace. C'est le comportement que naturellement nous adoptons face à un élément agresseur, que ce soit une émotion, un choc ou un effet de surprise, nous nous crispons, nous nous renfermons, nous nous angoissons. C'est une réaction tout à fait naturelle et il est bien difficile de s'en débarrasser. Un des exemples simples de ce comportement est la confrontation au froid. Quand nous sortons de la douche, ou allons chercher quelque chose dehors en plein hiver, tout notre corps se crispe naturellement, comme pour créer une carapace, une armure pour empêcher le froid de rentrer. De l'eau transformée en glace résistera à l'impact d'une pierre jetée sur sa surface. Oui, elle résistera, mais combien de temps ? Elle résistera à une pierre, peut-être à 10, voire même à 100, mais finira par s'écailler, se fissurer, se fendre et finalement se briser. 

Face aux épreuves de la vie, nous avons tendance à adopter le même comportement. Bien des gens affirment être forts et pouvoir en prendre... Mais jusqu'à quel point ? Devons nous attendre de s'écailler, de se fissurer et d'être brisés par ces épreuves pour prendre la décision de changer notre comportement ? Les gens victimes d'un "burn-out" seraient, je pense, les meilleurs arguments pour prouver que personne n'est invulnérable indéfiniment aux épreuves de la vie. Personne n'est intouchable et résistant au point de supporter à répétition les assauts des épreuves. 

Reprenons notre exemple de l'élément naturel nous composant à 65%, l'eau. En supposant que je jette ma pierre à sa surface, mais au lieu d'être crispée sous forme de glace, l'eau est à son état liquide naturel. Ma pierre va alors frapper sa surface, faire des remouds, mais va très vite être absorbée par l'eau et passer au travers. l'eau va alors laisser passer la pierre, la contourner, l'envelopper et la laisser continuer son chemin vers le fond. L'eau va alors se refermer, se calmer et retrouver son état naturel sans aucun effort, sans aucune marque d'éclat, sans aucune fissure. La pierre sera passée et n'aura affecté en rien la surface de l'eau. Et bien dans la vie, c'est la même chose. Laissons nous aller à notre état de fluidité. Laissons nous "traverser" par les épreuves. Faisons ce que nous avons à faire pour les régler ou les passer, mais ne leur accordons pas la possibilité de nous écailler ni de nous briser. Relâchons nos tensions, notre angoisse, nos doutes et nos peurs qui, de plus, n'apporteront aucun éléments nous aidant à avancer, bien au contraire. Ne gaspillons pas notre énergie à essayer de former une carapace qui ne durera qu'un temps. Laissons nous traverser par ces épreuves. 

En guide d'exercice, je vous propose de faire l'expérience avec le froid. La prochaine fois que vous serez confrontés au froid, pensez à surtout ne pas vous crisper mais au contraire à vous détendre. Relâchez vos muscles et "acceptez" de vous laisser traverser par le froid. Certes, vous le sentirez passer au travers, mais je suis prêt à parier qu'à votre grande surprise, ce ne sera pas aussi désagréable que ça. Vous sentirez le froid, mais il sera supportable. Ne lui offrant aucune résistance, le froid vous traversera sans vous affecter et vous ne serez pas malade. Bien évidemment, ne faites pas ceci si vous devez rester longtemps dehors... Mais pour des courtes durées, tentez l'expérience et il y a de très fortes chances que vous soyez très surpris. Si ça ne marche pas au premier essai, refaites l'expérience. On ne se débarrasse pas d'une habitude en la jetant par la fenêtre, il faut la faire sortir en lui faisant descendre l'escalier marche par marche. Il sera donc normal que vous ayez de la difficulté à vous débarrasser de l'habitude de vous crisper.

Dans la vie, tout ce qui est souple et fluide est bien plus durable et constructeur que tout ce qui est brisant et cassant. Les arbres ploient sous la tempête. Si ils se brisent, ils meurent. Les vagues de la mer détruisent les plus hautes falaises, alors qu'elles sont fluides aux mouvements circulaires. Aborder les choses avec dureté et rigidité n'apporte que rarement de bonnes choses. Laissez-vous porter par le fil du temps, laissez-vous aller au fil des épreuves et des situations. Gardez simplement votre cap et si une épreuve se présente à vous, restez détendus, calmes et serein. Ayez confiance en votre capacité de la traverser sans encombres et regardez déjà au delà, de ce que sera votre vie après ce passage.

Une deuxième étape sera ensuite d'aller au devant de ces épreuves...


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Serions nous devenus des êtres "télécommandés" ?

 Et dire que beaucoup d'entre nous disent savoir encore profiter de la vie et de ses beautés. 

L'histoire que je vais rapporter ici est vraie. C'est une expérience réalisée par le "Washington Post" dans le cadre d'une enquête sur la perception, les goûts et les priorités d'action des gens.

Un musicien de rue, un violoniste, était debout dans la station "L'Enfant Plaza" du métro de Washington DC. C'était un matin froid en janvier 2011.

Ce violoniste a joué durant quarante-cinq minutes. Pour commencer, il a interprété du Bach, puis l'Avé Maria de Schubert, ensuite du Manuel Ponce, du Massenet et, de nouveau, du Bach.

À cette heure de pointe (il était près de 8h00 du matin), quelques mille personnes ont traversé ce couloir, pour la plupart en route vers leur travail.

Après trois minutes, un homme d'âge mûr a remarqué qu'un musicien jouait. Il a ralenti son pas, s'est arrêté quelques secondes puis il est reparti en accélérant.
Une minute plus tard, le violoniste a reçu son premier dollar. Sans s'arrêter, une femme avait déposé un billet dans sa soucoupe. 
Quelques minutes plus tard, un quidam s'est appuyé sur le mur d'en face pour l'écouter mais, regardant sa montre, il a commencé à marcher. Il était visiblement en retard.
Celui qui a marqué le plus d'attention fût un petit garçon d'environ trois ans. Sa mère l'a tiré, pressé, mais l'enfant s'est arrêté pour regarder le violoniste. Finalement, sa mère l'a secoué et agrippé vivement afin qu'il reprenne sa marche. Toutefois, en marchant, l'enfant a gardé la tête tournée vers le musicien.

Durant les trois-quarts d'heure de jeu du musicien, 1097 personnes sont passées devant lui et seules sept personnes se sont vraiment arrêtées pour l'écouter un temps.

Il a récolté en tout et pour tout 32 dollars. Quand il a eu terminé de jouer, personne ne l'a remarqué, personne ne l'a applaudi, Une seule personne l'a reconnu sur plus de mille.

Personne ne s'est donc douté que ce violoniste était Joshua Bell (photo encadrée de cet article), un des meilleurs musiciens sur terre. Il a joué dans ce hall des partitions les plus difficiles jamais écrites, avec un Stradivarius de 1713, valant 3.5 millions de dollars.

Deux jours avant de jouer dans le métro, sa prestation au théâtre de Boston avait eu lieu "à guichet fermé" avec des prix avoisinant les 100 dollars la place.

Les questions levées par cette enquête du Washington Post sont les suivantes :

  • Dans un environnement commun, à une heure inappropriée, pouvons nous percevoir la beauté ?
  • Nous arrêtons-nous pour l'apprécier ? 
  • Pouvons-nous reconnaître le talent dans un contexte inattendu ?
Une des conclusions possible de cette expérience pourrait être : 
Si nous n'avons pas le temps de nous arrêter pour écouter l'un des meilleurs musiciens au monde jouant quelques-unes des plus belles partitions jamais composées... À côté de combien d'autres choses exceptionnelles passons-nous ?

La présence de ces gens au concert de Joshua Bell à Boston, était-elle vraiment motivée par l'amour de l'art et des belles choses ou simplement par le besoin d'affirmer son appartenance à une classe sociale ?

Beaucoup d'entre nous sont convaincu d'avoir le contrôle de leurs vies, de prendre soin d'eux, de maîtriser ce à quoi ils s'intéressent, d'avoir le choix dans leurs domaines appréciés. Mais aux vues des circonstances de cette expérience, ne sommes-nous pas devenus des êtres "télécommandés" par une société pour laquelle nous avons abandonné notre vraie nature profonde et notre symbiose avec notre environnement qui tente désespérément de nous offrir tant de belles choses, pour lesquelles nous sommes devenus complètement sourds et aveugles et nous n'en avons même pas conscience.

Ne serait-il pas temps de repartir à l'origine des choses et d'identifier toutes ces choses qui nous "engluent" afin de redonner un souffle de vie à notre vraie nature ?

J'avoue humblement avoir sauté sur l'occasion de publier cette expérience du Washington Post. Elle mets en évidence ce pourquoi "Le Petit Guide de ma Renaissance" a été rédigé.

"Repartir à l'origine des choses et se ré-ouvrir toutes ces routes que nous avons négligées ou oubliées pour se "désengluer" de ce rythme effréné de notre vie que bien souvent, nous nous imposons nous-même, faute de trouver nos propres routes et notre propre vision du monde qui nous entoure."


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Nous, une autre espèce comme les autres

Essayant parfois de repartir à l'origine des choses pour en comprendre l'éventuelle imbrication, et suite à certains faits vécus sortant des limites rigides de notre vision scientifique du monde qui nous entoure, je me suis mis à considérer les points communs entre l'espèce humaine et les végétaux, pour éventuellement identifier certaines similitudes. Aimant repousser les limites du "pourquoi pas", j'ai voulu aller bien plus loin que la primitive comparaison des humains avec les animaux, avec qui nous partageons la classe des mammifères et dont nous nous différencions que par des facultés différentes (J'ai bien dis "différentes" et non "supérieures", car en bien des domaines, nos confrères mammifères nous sont très largement supérieurs). 

Cette considération m'a fait me rappeler un article que j'avais lu il y a des années et dont j'ai réussi à retrouver un contenu similaire sur internet. Le voici : 


Un scientifique a fait cette découverte, lors d'une étude sur les cas de mortalité importante constatée dans des élevages en Afrique du sud.

Dans ce pays existent des élevages d'antilopes appelées koudous, et plusieurs d'entre elles ont été retrouvées mortes de manière inexpliquée dans leur enclos. En cette période de grande sécheresse l'herbe est rare, et pratiquement la seule nourriture qui reste, ce sont les feuilles d'acacias dont se nourrissent volontiers ces antilopes.


Devant le peu de pistes concernant ces morts incompréhensibles, le scientifique a l'idée d'observer l'estomac d'un koudou mort; or il constate la présence de feuilles d'acacias non digérées, comme si la fermentation normale n'avait pas eu lieu.

Après examen des feuilles, il est relevé un taux anormalement haut de tanin, substance produite par les feuilles d'arbres pour se protéger en général de microbes et autres parasites. C'est ce tanin qui a empêché la fermentation et la digestion des feuilles. Mais pour quelle raison les acacias se sont-ils mis à produire ce tanin toxique?

Y a-t-il un lien avec le fait que les antilopes n'ayant que des acacias à manger, elles ont fait subir une forte pression sur ces arbres, avec peut-être une nécessité de se défendre pour les acacias?

Ceux-ci se sentant en danger, ont-ils modifié la teneur chimique de leur sève? Les scientifiques pour prouver et tester cette théorie, ont mimé l'agression des koudous en fouettant avec des cannes les branches d'arbres. Quelques heures après, l'analyse démontre bien que la teneur en tanin des feuilles a fortement augmenté.


Dans la nature, le koudou serait allé manger ailleurs, et ne se serait pas acharné sur un acacia aux feuilles amères; mais dans un enclos, il n'a pas eu le choix. Et donc sa nourriture l'a empoisonné.


Ce fait de défense des arbres, est déjà assez frappant et en un sens extraordinaire, mais ce n'est pas tout.

En fait, notre scientifique a une autre intuition: il prend un petit sac en plastique et le noue autour de l'extrémité d'une branche. Après quelques temps, il vient avec une seringue, pique à travers le sac et aspire l'air contenu.
Après une analyse de cet air, il constate une forte concentration de phéromones, un gaz volatil. Les acacias stressés émettent une forte quantité de ces gaz; ceux-ci, poussés par les vents, entrent en contact avec d'autres arbres à proximité, qui modifient alors également la teneur en tanin de leurs feuilles.

L' arbre en danger se défend en modifiant la composition chimique de ses feuilles, mais il communique également ce danger à ses congénères acacias.


Les indiens d'Amérique disent que les arbres se parlent, et cela devient évident après cette étude."


Cette capacité qu'ont les acacias de dissuader les animaux de manger leurs feuilles, de manière radicale, est une faculté tout à fait étonnante qui nous est complètement inaccessible. Je ne parle pas d'ici d'un système immunitaire, car tout comme le corps humain, l'arbre doit très certainement en posséder un, car il est bien connu que des plantes meurent suite à des maladies ou des "virus", alors que d'autres survivent. Je parle bien ici d'une faculté de modifier "consciemment" notre organisme pour se protéger de "prédateurs". 

Posséder une faculté similaire reviendrait à avoir la faculté consciente de changer le goût de notre sang, voire même de le rendre toxique afin de dissuader les moustiques de nous piquer dès l'arrivée du printemps. Intéressant non ? 

Bref, je me suis donc laissé aller à cette pensée que les arbres et les humains sont tout aussi évolués, mais dans des domaines différents. Ils auraient leur moyen de communication qui nous serait totalement inconnu, leur moyen de protection, très probablement même leur hiérarchie, un système "social", des vieux sages qui enseigneraient aux jeunes pousses le fonctionnement et les "règles" de leur société. Pourquoi pas. Le fait que ces domaines échappant complètement à notre connaissance n'exclue absolument pas leur existence. 

Si nous repartons à la considération basique de nos deux espèces, nous avons comme points communs le fait que nous sommes composés des mêmes molécules (selon des pourcentages et des organisations différentes), nous grandissons, nous cicatrisons, nous luttons contre des maladies, nous mourrons de vieillesse car nous sommes tous les deux animés de la vie. Si notre espèce a évolué en utilisant à l'origine des outils pour se faciliter la vie (os, silex, pierre), les arbres ont probablement également évolué en utilisant d'autres outils, mais non "matériels", des outils qu'ils ont perfectionnés au fil du temps, comme un moyen de communication, une organisation structurée des espaces forestiers pour mieux profiter et partager des ressources naturelles, tout comme les humains ont créé une structure sociale pour s'organiser entre eux (ce qui est loin d'être une réussite en ce qui nous concerne !)

Une chose que nous pourrions avoir en commun et qui permettrait un éventuel "échange" serait peut-être à considérer dans le domaine des "énergies". Quand nous mourrons, il semble qu'une partie "énergétique" de nous même persiste. Alors pourquoi n'en serait-il pas de même avec les arbres ? Et une fois sous forme "énergétique", nos deux espèces ne seraient-elles pas capables de communiquer, rendues au même niveau ? Et tout comme des être humains semblent avoir la faculté de communiquer avec des "fantômes", pourquoi ne seraient-il pas possible de communiquer également avec ces éventuels "fantômes arbres", à mois que ce ne soit déjà possible sous leur forme matérielle...

Quand nous abordons le sujet de la télépathie, (Une hypothèse d'explication scientifique est donnée dans un article de ce blog), nous nous limitons à la communication entre deux esprits humains... et pourquoi ne pas élargir notre vision des choses et y inclure aussi les "esprits arbres" ? Ridicule me direz-vous ??? Peut-être... mais quels sont les arguments qui réfutent une telle théorie, si ce n'est notre "étroitesse" d'esprit. Alors ouvrons grand notre esprit car c'est en ouvrant notre esprit à l'impossible qu'on peut parfois découvrir la vérité.

Les arbres sont des êtres vivants partageant notre planète. Pourquoi ne serait-il pas possible de communiquer avec ?... Pourquoi pas.....

Quand on ouvre son esprit à l'impossible, on peut parfois découvrir la vérité...


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Moment privilégié...

J’étais sur le point de terminer mon troisième tour du parc en courant, (alors qu’il y a encore 3 semaines, j’en terminais péniblement un !!) quand soudain, au détour du dernier virage, le temps s’est arrêté…

Comme pour m’offrir de trophée de la fin de mon parcours, le soleil semblait avoir glissé délicatement une douce main de rayons orangés sous la canopée, s’infiltrant au travers des feuilles, des troncs, des bosquets, pour rejoindre chaque parcelle de sous-bois, jusque là ombragée. Cette délicate main de lumière tamisée et pourtant si vive, semblait venir caresser la joue de chaque feuille avant que Dame nuit ne vienne prendre le relais dans cette atmosphère féerique. Les sous-bois se sont illuminés d’un gigantesque sourire éclairé comme pour faire un dernier signe à cette journée qui s’endormait…  Je me suis assis sur une souche encore humide de la pluie tombée en après-midi et je suis resté là, contemplatif de cette toile naturelle qui s’estompait peu à peu. Lorsque les derniers rayons se sont évanouis au creux des sous-bois, j’ai quitté ma souche encore humide et terminé mon parcours en marchant, comme si je ne voulais pas faire de bruit pour altérer ce sommeil dans lequel semblaient s’être plongées les jeunes feuilles des arbustes, fière relève de ces grands arbres qui veillaient sur eux.

Emportant avec moi un éclat de cette quiétude, bien des choses matérielles me sont alors semblé secondaires…


Je vous propose ICI de vous aider à reconstruire le chemin vers votre Renaissance

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Le site internet de "Moz-Rédaction"

La bêtise des maîtres...

Une fois n'est pas coutume, j'ai eu besoin d'écrire quelques mots qui vont, je l'espère, soulager mon exaspération face à la "connerie humaine", face à ce comportement idiot et stérile du "Je fais comme les autres mais en fait, j'ai rien compris !"  


J'ai cette chance merveilleuse d'habiter de l'autre côté de la rue d'un parc magnifique et féerique. Je partage avec lui quasiment tous les soirs un moment privilégié de calme et de sérénité au travers d'une petite marche, voire même d'un jogging. Chaque fois que je franchis une de ses entrées, je ne peux m'empêcher de marquer un temps d'arrêt et d'admirer cette toile que les rayons du soleil viennent de peindre dans les sous-bois, sur un fond de verdure sauvage. Bien qu'entouré de la civilisation, cette bulle semble à l'abri de toute agression sonore de son entourage, si bien qu'en progressant sur ce petit chemin qui s'ouvre à moi, j'ai l'impression de descendre dans des abysses sous-marins au coeur de la forêt.
À chaque fois, au fur et à mesure de mon cheminement, je découvre de nouvelles facettes de cet endroit merveilleux, de nouvelles odeurs, de nouveaux reflets, de nouveaux paysages... C'est une source inépuisable de découvertes et d'émerveillement que les mots ne sauraient que décrire très maladroitement, tant la sensation d'être plongé dans ce genre d'endroit procure une évasion de l'âme. Des couples s'y promènent main dans la main et me partagent un sourire lorsque nous nous croisons. Des cris d'enfants qui s'amusent jaillissent de cet endroit de jeux spécialement aménagé pour eux autour du lac, où gambadent joyeusement les derniers nés des familles de canards résidents. J'y croise souvent des confrères sportifs, mais aussi des personnes d'un certain âge, venus essayer de ralentir le fil du temps, dans cette nature qui vibre au rythme des battements d'ailes et des ébats des jeunes écureuils. Bref, cet endroit semble n'appartenir à nul autre et permet de s'évader au gré de notre imagination.


Malheureusement... la "connerie" de certains êtres humains me ramène souvent à la dure réalité...

J'aurai bien du mal à décrire cette sensation de désarroi, de découragement, allant même jusqu'à la pitié face à cette simplicité d'esprit dont font preuve certains maître venus promener leur animal. D'ailleurs, face à cette constatation, sachant que c'est supposément le plus évolué qui vient promener celui qui a besoin d'être assisté, je ne saurai dire si c'est le maître qui est venu promener son chien ou l'inverse...

J'ai fais une découverte pour laquelle le mot "innocent" vient décrire de façon assez juste le comportement de ces maîtres imbéciles qui se disent plus évolués que l'animal... mon oeil !! (pour décemment ne pas citer une autre partie de mon anatomie). Au hasard d'un balayage du regard, je suis tombé médusé face à un petit sac en plastique noir. Je vous décrit la scène qui s'est probablement déroulée quelques heures auparavant.


Un maître et son chien se promènent nonchalamment sur les sentiers de cet endroit reposant. Le cycle biologique des intestins du chien n'étant pas au repos, il s'arrête et dépose sur le sol une matière brune, chaude et odorante. Grouillant de micro-organismes, cette matière semble en tout point comparable au maître, si nous observons les deux sous l'angle de l'absence totale de lucidité et d'intelligence... Soucieux de feindre un respect des autres et de l'environnement, le maître sort de sa poche un petit sac en plastique noir et, glissant la main à l'intérieur, saisi délicatement l'excrément et d'un geste éloigné, retourne le sac sur la matière fécale afin de l'emprisonner hermétiquement. Jusqu'ici, rien de plus normal et de plus courtois vis-à-vis des autres amoureux de cet endroit loin de tout... Mais quelle ne fût pas ma stupéfaction de m'apercevoir qu'à la suite de cette manoeuvre, ce mollusque anencéphale de maître dépose sur le sol ce petit sac en plastique noir et poursuit son chemin, avec cet air vainqueur d'avoir oeuvré pour le bien de la communauté... 


Dois-je en vouloir aux fabricants des petits sacs noirs pour ne pas avoir précisé sur le mode d'emploi qu'après avoir ramassé le "caca du toutou", il fallait jeter le sac dans une poubelle ? Et non sur la scène du crime ?


Certains me dirons... "Certes, mais au moins, ça évite de marcher dedans !"... Foutaise... Dans la nature, essayez de déposer un petit sac contenant de la matière animale... Il ne faudra pas plus de quelques heures pour qu'un petit rongeur curieux soit venu éventrer le sac et remettre au grand jour l'oeuvre anale de ce chien innocent (ici, contraire de coupable.. innocent pour simple d'esprit, je le garde pour le maître !!)


Bilan de l'histoire.. Outre le fait que la matière fécale soit toujours au grand jour, au risque donc que je marche dedans, le maître (qui mériterait en fait d'être appelé "apprenti") a en plus, pollué cet endroit naturel d'un déchet plastique qui va mettre des centaines d'années à se désagréger... Respectueux de la nature ??? mon oeil! (là aussi, pour ne pas dire autre chose...) Respectueux de ses petites mains trop faibles pour porter un petit sac de caca !! Voyons ! Ça ne fait pas viril !!!
C'est aussi dur que ça de porter le petit sac dans la poubelle la plus proche à la sortie du parc ???


Désolé de ce "coup de gueule"... mais avouez quand même qu'il y a des gens qui n'ont pas vraiment compris la finalité de certains actes...et j'ai du mal à supporter leur manque totale de "profondeur"...


Sur ce..... je vais prendre une marche en gardant les yeux en l'air !


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Pourquoi tardons nous tant à passer à l'action ?

Pensez à toutes ces choses que vous avez remises à plus tard et que vous n'avez toujours pas réalisées....
Si il y a une liste de phrases qu'on prononce le plus dans notre vie, je suis prêt à parier que celle-ci en fait partie : "Je vais y penser !"  viennent s'ajouter ensuite toutes ces phrases qui commencent par "Il faudrait que je....".
La plus petite des actions est bien plus efficace que la plus grande des décisions, alors pourquoi tardons nous tant à passer à l'action ?

 En fait, c'est souvent le doute qui nous freine dans nos actions. Quoique nous décidions de faire, d'acheter, de réaliser, il y a toujours cette question à savoir si il n'y aurait pas mieux que ce que nous allons entreprendre. Si je dois changer de voiture, c'est certain que je vais chercher celle qui me conviendra le mieux, mais même après l'avoir trouvée, avant de passer la commande, une foule de question nous passe par la tête : "Est-ce je ne fais pas une erreur ?", "Est-ce que ce modèle est fiable ?", "Est-ce que je ne devrai pas utiliser mon argent à autre chose ?", "Est-ce que je ne vais pas avoir besoin de mon argent prochainement ?" Je prends l'exemple de la voiture, mais je pourrai en trouver des centaines d'autres. Il est vrai que, quand une somme d'argent moindre est mise en jeu, les questions sont moins nombreuses, et encore !!! Combien de fumeurs ont pensé à arrêter de fumer ? Cette cessation augmenterait leurs finances et améliorerait leur santé, alors qu'est-ce qui fait  que tant de fumeurs repoussent le moment de s'arrêter ? Certes, il y a la dépendance physique, mais elle n'est pas insurmontable, et bon nombre d'anciens fumeurs peuvent le prouver, surtout qu'il existe des aides. Mais alors qu'est-ce que c'est ? 

En fait, dans tous les cas d'action, il y a le commencement, et surtout, la volonté de commencer, la volonté d'agir, la volonté de changer. C'est très souvent cette volonté qui fait défaut, et pas seulement dans le cas des fumeurs.

Perdre les quelques livres que nous avons en trop. Voilà un sujet qui ne demande pas de dépenses supplémentaires, qui n'est pas sujet à la dépendance (quoique.. pour certains gourmands...) et bien des personnes trouvent qu'ils ont quelques livres en trop et remettent toujours à plus tard le moment de commencer à prendre soin de leur santé et de retrouver une forme physique avec laquelle ils seraient plus à l'aise. Mal se nourrir est principalement causé par un manque de discipline et de volonté. Une alimentation déséquilibrée est très fréquente de nos jours, et pas seulement chez les personnes atteintes d'un sur-poids. Les produits du commerce ont perdu bien des propriétés nourrissantes et bénéfiques pour notre corps au profit de qualité de conservation, d'augmentation de la saveur, de l'apparence visuelle et surtout de rentabilité de production.
Pourtant, quand on parle de rééquilibrer l'alimentation, la majeure partie de ces gens disent cette phrase magique : "Je vais y penser...!".

Loin de moi l'idée de critiquer ces personnes qui repoussent toujours au lendemain ce qu'il auraient pu entreprendre le jour même, car j,en faisais partie, mais, le passage d'une prise de décision à une "prise d'acte" m'a apporté tant de bienfaits dans ma vie qu'il me fallait réagir. J'ai changé mon alimentation. en quelques jours, j'avais perdu un nombre intéressant de livres, et les jours qui ont suivi, j'ai retrouvé mon énergie, j'ai retrouvé mon souffle, j'ai retrouvé le plaisir de prendre soin de moi et de mon corps. "Mens sana in corpore sano"  autrement dit : "Un esprit sain dans un corps sain". On est tellement plus à l'aise de vivre dans une belle maison bien rangée que dans un cabanon rempli de fouillis, ou encore de rouler au volant d'une voiture en parfait état de marche plutôt qu'une guimbarde bruyante qui perd de l'huile, et bien pour l'esprit c'est pareil. Prendre soin de son corps et rétablir une harmonie entre lui et notre esprit changera notre quotidien. Le sourire reviendra avec la bonne humeur, l'énergie et le plaisir de reprendre un peu de sport et surtout cette légèreté physique de sentir à nouveau notre corps ronronner comme un moteur de formule 1.

Constatant tous ces changement, il ne me restait qu'une seule question à l'esprit. "Pourquoi n'ai-je pas fait ça plus tôt ?". Avant de prendre cette décision, ce que mon acte allait engendrer restait inconnu, et qu'est-ce qui nous effraie plus que l'inconnu ? Alors qu'il n'y a rien de mieux que de franchir une porte pour savoir ce qu'il y a derrière, tout comme il n'y a rien de mieux pour savoir comment ça va se passer "après" que de, non pas prendre la décision, mais de "prendre acte" et d'agir. 
Seuls les gens qui prennent le risque d'aller trop loin sauront jusqu'où ils peuvent aller ! 

Alors allez-y, remisez au placard cette phrase "Je vais y penser !", et agissez. Tout ce que vous risquez serait de faire l'expérience d'une chose que vous ne recommencerez pas, et dans ce cas là, ne l'appelez surtout pas "erreur", mais "apprentissage", et cela vous donnera d'autant plus d'expérience pour agir encore plus rapidement la prochaine fois, car des questions auront été éliminées...

Rejetez cette vieille habitude de vous reléguer en fin de liste des personnes de confiance, comme c'est expliqué dans l'article suivant : "Pourquoi nous reléguer en fin de liste ?" 

Dites "OUI", agissez, entreprenez, et bien souvent, vous trouverez naturellement des réponses à ce qui vous convient le mieux dans la vie, plutôt que d'essayer de trouver des réponses, que bien souvent on ne trouve jamais, à de simples questions.

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Les vibrations : Une source universelle de solutions?

Albert Einstein avait un rêve : Trouver une théorie "du tout", c'est à dire une théorie qui permettrait d'expliquer le comportement de l'infiniment petit, et de l'infiniment grand. Du mouvement complexe des atomes à celui des galaxies et de plus, expliquer ce qui s'est passé lors du "big-bang" et pourquoi notre univers a évolué en ce qu'il es aujourd'hui, incluant toutes choses, y compris la vie. Bref, Il voulait relier deux théorie qui ont leur domaine d'application très distinct : La théorie de la relativité générale et la mécanique quantique.  

C'est dans le début des années 1980 qu'a émergé une théorie qui se donnait l'orgueilleux objectif de réaliser le rêve d'Einstein : La théorie des cordes. Pour en faire un résumé simpliste, descendons dans l'ascenseur de la matière pour aller voir de plus en plus près de quoi elle se compose. La notion comme quoi la matière est composée d'atomes remonte à l'antiquité et nous devons ce concept à un philosophe de la Grèce antique, Leucippe et à son disciple Démocrite qui ont suggéré que la matière était composée de particules infimes et invisibles à l'oeil nu. Sujette à bien des discussions et des controverses pendant des siècles, ce n'est qu'au XIXème que cette notion d'atome fût communément admise par tout le collège scientifique car son existence a pu être prouvée par les techniques modernes de la sciences. D'ailleurs, Dimitri Mendeleïev créa, en 1869 sa fameuse classification des éléments qui porte encore son nom de nos jours. Les électrons ont été découverts par Thomson en 1897. Mais bien que considérés comme particule élémentaire de la matière, le statut "d'élément le plus petit" de l'atome a été remis en cause en 1969 par le physicien Murray Gell-Mann qui émit l'hypothèse que les atomes eux-même seraient composés d'éléments encore plus petits : les quarks. Leur existence fût démontrée, prouvée et décelée en 1994. Donc, en 1969, notre ascenseur était encore descendu d'un étage au coeur de la matière, dans l'infiniment petit avec l'hypothèse de l,existence de ces quarks. 

C'est dans le début des années 1980 qu'a surgit une théorie considérée au début comme un ensemble d'hypothèses sur l'interprétation d'une ancienne formule d'Euler, qui n'a réussi qu'à déclencher en premier lieu, que l'indifférence du corps scientifique : la théorie des cordes. Cette théorie avance le fait que les quarks seraient eux-même composés d'éléments encore plus petits, mais non pas faits de matière, mais de sortes de "cordes vibrantes d'énergie" (d'où le nom de la théorie). Ces cordes, vibrant à des fréquences différentes formeraient en fonction de leur vibration, les différents éléments de matières, c'est à dire les quraks, qui composent les atomes qui eux, composent la matière. Et tout comme les centaines de cordes des instruments d'un orchestre vibrent différemment pour donner naissance à une oeuvre musicale, les cordes d'énergies unissent leurs vibrations pour former une "oeuvre matérielle" : la matière.

Bref. en résumé (quelque peu simplifié !) tout ce qui existe dans l'univers serait uniquement composé d'énergie émise par la vibration de ces cordes vibrantes. 
Pour donner une idée estimée de leur taille, imaginons qu'un atome ait la taille de notre système solaire. Le noyau serait le soleil et les électrons, les planètes qui gravitent autour du soleil. Et bien la dimension estimée d'une corde serait approximativement celle de la taille d'un être humain sur terre.

Je passerai sous silence volontairement les différentes répercussions de l'existence de ces cordes sur les hypothétiques univers parallèles qui découlent de cette théorie (sujet abordé dans un autre article de ce blog : La théorie de la toile Universelle), car si cette théorie s'avèrerait exacte, l'existence de "mondes parallèles" serait alors plus que probable... 

Mais si nous axons notre réflexion sur le fait que la matière serait effectivement composée d'énergie, qu'est-ce qui nous empêche alors de se baser sur cette hypothèse et d'aller plus loin en partant du principe que, dès que quelque chose ne va pas, s'aggrave, se détruit, c'est "simplement" un dérèglement des fréquences de vibration de ces cordes. Prenons des exemples...

Le phénomène de rejet d'une greffe opératoire sur un corps humain ne serait-il pas causé par le fait que la vibration de l'organe greffé et du corps récepteur soient déphasées. Même deux corps, vibrant à la même fréquence peuvent s’amortir mutuellement si l’assemblage n’est pas harmonique. Cela crée donc un déséquilibre et une perturbation de la fréquence globale. Un remède ne serait-il pas de soumettre "l'assemblage" une vibration harmonisée afin d’accorder le nouveau système à la même fréquence et de rendre compatibles la greffe avec le corps récepteur?

Allons plus loin... Une cellule cancéreuse ne serait-elle pas une cellule en train de se détruire car sa vibration propre se serait déréglée ? Et par voie de conséquence, perturberait les vibrations des cellules avoisinantes, provoquant ainsi une réaction en chaine qui détruirait les cellules alentours, tout comme la chute d'un seul domino peut provoquer la chute de milliers d'autres. Est-ce qu'une technologie qui serait capable de ré-harmoniser les fréquences de vibration de ces cordes permettrait de "restabiliser" les cellules défectueuses et ainsi guérir toutes sortes de maladies dégénératrices?

Et pourquoi pas aller à l'extrême...  Une corde de guitare qu'on fait vibrer émet un son. Mais l'amortissement jouant son rôle, ce son diminue progressivement jusqu'à s'éteindre. Il faut alors une intervention extérieure pour maintenir ce son. Donner une nouvelle impulsion à la corde ou faire appel à des amplificateurs électroniques. Et si pour les "cordes vibrantes" de la matière c'était la même chose? Si on arrivait à faire en sorte que les vibrations de ces cordes ne faiblisse jamais, par un traitement "électro-magnétique"extérieur par exemple... Est-ce que nous aurions trouvé un remède au vieillissement et trouvé enfin la source de l'éternelle jeunesse?


Le problème est qu'étant la partie élémentaire de toutes choses, il n'existe aucun moyen, à ce jour, d'intervenir sur ces cordes, car elles composent elles-même toutes choses... ce serait un peu comme si vous vouliez vous gratter le dos de votre main gauche... avec votre main gauche...

Hô et puis zut !! Quitte à faire des hypothèses fantasmagoriques, parlons justement des univers parallèles.....
Selon la théorie des cordes, tout notre univers est composé de « cordes vibrantes », donc tout ce qui a été généré est proportionnel à ces vibrations de base et peut-être qu’une infinité d’univers ont été créés, correspondant à des gammes de vibrations différentes. Tout ce qui forme un univers est proportionnel à une gamme de vibration donnée. Les autres univers basés sur une autre gamme de vibration seraient donc «invisibles», mais cohabiteraient.
Nous évoluons dans un environnement qui a une vibration harmonisée avec la nôtre, car nous en sommes issus, donc compatibles. Si on change la fréquence de vibration de notre corps, et les capacités de réception vibratoire de nos sens, aura-t-on accès à un monde généré par une autre gamme de vibration, donc à un univers parallèle?
Les animaux perçoivent des vibrations auditives différentes (ultrasons), probablement qu’ils voient des couleurs que nous ne voyons pas (vibrations « photoniques ») et ils « voient » des fantômes (chats), donc voient-ils des choses d’un monde que les humains ignorent et qualifient de « parallèle »?

La science a réussi à mesurer les vibrations des corps, qu'ils soient vivants ou inertes, et ce, depuis très longtemps déjà. Voici les résultats : 
 - Fréquence de vibration de la terre de Schumann : 7.8 Hz
 - Les vibrations globales du corps se situent entre 4 et 8 Hz   
 - Fréquences perturbatrices pour le corps : entre 8 et 16 Hz
Ça n'a probablement absolument rien à voir avec la vibration des cordes de la théorie du même nom, mais j'avoue trouver amusant le respect des ordres de grandeur de la vibration de la planète avec celle d'un corps humain, et le fait que si nous sortons de cette gamme de fréquences, des dommages sont constatables.

Si il dangereux de modifier les vibrations propres du corps humain, peut-être passer par la construction d’un «caisson» qui lui, vibrerait à une fréquence différente, ou encore, qui servirait de filtre et modifierait les fréquences qui traverseront ses parois pour les rendre compatibles avec les fréquences perceptibles de l'observateur, cela nous permettrait-il de "voir" d'autres univers qui cohabiteraient avec le nôtre, tout en étant invisibles ?

Ne viens-je pas de donner le principe de fonctionnement d'une machine à voyager dans les univers parallèles, voire même dans le temps? Là encore, seuls mes arrières-arrières-arrières-arrières-arrières-arrières-arrières petits enfants auront peut-être la réponse...

Message personnel : À Édith et Christian : Notre "œuf" avait posé la première pierre... Je reste convaincu que nous étions sur le point de traverser... 

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La théorie de la "Toile Universelle"



Albert Einstein a révolutionné la vision et la compréhension du concept très complexe de l'espace temps en réussissant une illustration simplifiée de son fonctionnement. Afin de nous faire ressentir certaines lois qui le régissent, tout en nous évitant de nous déballer des formules vectorielles tant indigestes qu'incompréhensibles. il l'a illustré avec une surface qui serait déformée par la présence de matière et qui, de ce fait, vient rejoindre nos notions de mécanique générale en "sentant" bien le fait qu'un corps, s'approchant de cette matière, serait emporté dans la pente de la déformation de cette toile "spatio-temporelle", ce qui explique le phénomène de gravité, phénomène dont Isaac Newton avait découvert l'existence et une formulation mathémathique, sans pour autant pouvoir y donner une raison. Expliquer une facette de la mécanique quantique à l'aide d'une illustration dans le monde de la théorie de la relativité générale pour aider nos petites neurones à mieux imaginer ce qui se passe.... Merci monsieur Einstein de cette délicatesse...  

Soyons fous... Et si je tentais de d'élaborer une théorie aussi révolutionnaire concernant le monde du paranormal, des vies antérieures, des fantômes, des gnomes, bref, une théorie qui illustrerait les lois de comportement non mathématiques qui régissent l'univers des vies et des énergies et bons nombres de phénomènes sur lesquels nous collons sans aucune autre forme de considération, l'étiquette "paranormal". 

Tout comme l'espace temps a été représenté par Einstein par une toile en caoutchouc déformable, je vais reprendre cette idée (car elle n'est pas si mauvaise après tout !!!) et représenter tous les chemins de vie de l'humanité par une toile, non pas en caoutchouc, mais en tissus. Ici, cette notion de "déformabilité" n'est pas prépondérante, bien qu'elle sera utile pour expliquer certains phénomènes "marginaux". Donc, imaginons que toutes les existences de l'humanité soient contenues dans une toile. Je dis bien "dans" et non pas "sur", car, au risque de me faire passer pour un copieur, je vais encore emprunter à la physique une représentation de la théorie très à la mode : La théorie des cordes. Cette théorie sous-entend qu'il existerait entre 6 et 26 dimensions dans notre univers. Sans rentrer dans les détails, je vais juste emprunter la notion suivante. Une toile vue dans son ensemble représente un espace en deux dimensions, soit une surface plane. Mais si nous nous approchons suffisamment proche, nous pourrons alors discerner les fils qui composent cette toile et nous découvririons alors que dans cet espace à deux dimensions, existent d'autres espaces qui eux, sont en trois dimensions qu'on appelle tout simplement "fils". En effet, vu d'assez proche, les fils peuvent être comparés à des barres, ou des tubes qui eux, possèdent trois dimensions (soit un volume).

La toile de fond
Donc, armé de ces différents emprunts au monde de la physique théorique, je vais imaginer que la toile, dans laquelle évoluent (et je dis bien "dans" et non pas "sur") toutes formes de vie de l'humanité et ce, depuis la nuit des temps, donc cette toile serait formée de tubes entrelacés, tout comme sont entrelacés les fils du tissus de ma chemise. Chacun de ces tubes représentent un "chemin de vie". 


Mais en fait ces "chemins de vie" ne sont pas aussi bien rangés que ce que pourrait laisser imaginer cette comparaison avec les fils d'un tissus d'une chemise. Ces chemins de vie sont sinueux, entrelacés, un peu comme dans l'image suivante, pire encore... comme un plat de spaghettis...


Imaginez alors que cette chemise soit mise en boule au fond d'un panier de linge... Des couches de fils viennent alors en contact avec d'autres couches de fils et ce, dans un enchevêtrement inconcevable. bref, tout ceci pour arriver à une autre illustration qui résume aussi très bien une hypothèse de représentation de l'univers énergétique : un "échangeur complexe". Chaque direction possible serait un chemin de vie d'une "entité". et la "toile universelle" serait une accumulation infinie de ce genre d'échangeur.


Mais il nous faut néanmoins fusionner ces deux représentations : Les tubes de vie (les fils du tissus de ma chemise) et les chemins de vie (les différentes directions qui s'offrent à moi). Les tubes de vie sont des routes desquelles il est possible de sortir, tout comme il est possible de quitter la route qui nous mène à notre destination. 

Donc, pour résumer, nous pourrions considérer deux choses. Il y a les "tubes de vie" que nous devons suivre, car ils sont étroitement liés à ce que nous avons à parcourir dans la vie pour être en harmonie avec nous-même, et les "chemins de vie" qui sont donc comparés à des itinéraires que nous pouvons néanmoins quitter au gré de nos choix et décisions, tout comme nous pouvons quitter la route qui nous mène à notre destination de vacances, mais dans ce cas, nous allons nous "perdre". Nous retrouverons peut-être des endroits agréables, mais ce ne sera plus notre destination initiale, celle qui était parfaitement en harmonie avec nous-même... Voilà pourquoi certaines personnes se sentent perdues, n'arrivent pas à être épanouies et ressentent cet étrange sentiment qu'il manque quelque chose à leur vie, qu'ils ne sont pas à leur place, qu'il manque une pièce au puzzle de leur vie. Peut-être sont-elles sorties de leur "chemin de vie".

Cette hypothèse semble présenter une notion qui risque de déranger bien des personnes. Si chaque fil de ma chemise est un chemin de vie, celui-ci est donc fixe et défini, aussi aléatoire que puisse être sa disposition et sa forme. Alors la première "objection" qui viendrait à l'esprit serait : Les chemins de vie ne sont pas définis, nous sommes maîtres de notre destin et celui-ci est construit selon nos décisions et nos actions. C'est exact. Mais chacun a la possibilité de quitter ces tubes de vie pour suivre un chemin de vie différent. Le tout est de faire les bons choix. Chacun des choix dans la vie, chacune de nos décisions, de nos actions, aura pour effet de nous faire avancer, mais à nous de savoir exactement le chemin que nous avons à suivre pour ne pas que nos décisions et nos action nous en éloignent. D'où la nécessité de bien connaître notre destination. Comment ? cela fera peut-être l'objet d'un autre article...

Mais comment savoir et comment faire pour ne pas faire dévier notre chemin de vie de notre tube de vie ? Qu'est-ce qui fait que nous avons l'impression parfois de ne pas avancer sur notre route? Qu'est-ce qui fait que, malgré notre souhait d'avancer, les choses ne semblent pas évoluer ? Tant de questions qui nous viennent parfois à l'esprit et qui viennent inexorablement se rajouter à cette liste de questions qui nous hantent parfois. Des réponses existent. Je vais en aborder certaines dans la suite de cet article.

Tentons de les reprendre une par une...

Tout d'abord, si nous gardons cette comparaison en tête d'associer ces chemins de vie et ces tubes de vie à un échangeur routier, la meilleure façon d'arriver à destination et de garder la bonne route est d'avoir identifié clairement et de façon précise notre destination. Bien des gens disent savoir ce qu'ils veulent dans la vie, mais ça ne suffit pas. Il faut le définir clairement et de façon concrète. Des objectifs comme "Je souhaite être heureux", ou alors "je veux pouvoir profiter de la vie" sont des "destinations" très honorables, mais elle manquent singulièrement de précision et elles ne sont que des conséquences d'avoir atteint son but. C'est comme si vous demandiez à un chauffeur de taxi de vous conduire là où vous serez bien... Comment peut-il savoir, il y a tellement de choix possibles et surtout, il ne connaîtra pas les endroit les mieux adaptés à ce que vous attendez de la vie, en fonction de votre personnalité. 

Donc, demander à la vie une conséquence d'avoir trouvé votre destination ne suffit pas. Oui, quand vous aurez identifié votre destination et que vous serez en route vers elle, vous serez heureux et vous vous sentirez épanoui et serein, mais il faut définir l'endroit avec plus de précision. Comment ? Désolé, mais il existe des chemins pour ça, mais ils sont reliés à votre propre personnalité et je ne peux donc pas ici en faire l'inventaire, ce serait interminable. Mais aider une personne à définir clairement sa destination, le "chemin de vie" qu'elle doit suivre, est possible.

Pourquoi n'avons nous pas l'impression que notre vie évolue, ou que les choses semblent toujours pareil sans que rien ne change sur le fond. Mon explication sera simple et sera comparée à cette image :

Imaginez que vous arriviez de la rue et que vous vouliez poursuivre votre route, il va falloir agir et avancer, faire votre place dans le trafic et vous y infiltrer pour traverser cette intersection. Il ne va pas falloir attendre que quelqu'un vous laisse passer, sinon, vous risquez d'attendre longtemps. Il faut agir et ne plus prendre de grande décisions (du genre : "Bon, après la prochaine voiture, j'y vais !"), mais passer à l'acte. Là encore, vous comprenez bien que connaître sa route et sa destination a une importance capitale pour avancer. Imaginez vous embarquer dans ce genre d'intersection sans savoir où en ressortir et quel panneau suivre. Vous serez alors très influençable et surtout dépendant du mouvement des autres véhicules. Désolé de cette illustration simpliste, mais avancer concrètement dans la vie est exactement pareil... Si vous laissez les autres, ceux qui ont décidé d'avancer et d'occuper l'intersection, prendre des décisions d'action à votre place, ne vous étonnez pas d'avoir la sensation de ne pas avancer dans la vie. Beaucoup de gens peuvent parfois penser que la vie est difficile et injuste. C'est peut-être que vous en attendez trop, tout comme vous attendriez que les voitures de l'intersection s'arrêtent pour vous laisser passer... Ou de façon plus générale, votre route ne vous mène pas à votre destination car vous n'êtes peut-être pas sur votre "bon" chemin de vie... Vous avez un objectif à atteindre, une destination à rejoindre... Prenez la bonne route et ne vous laissez pas barrer le chemin. Mais ceci n'est faisable que si la destination est clairement identifiée.

Les vies antérieures
Avec ce concept, il devient alors tentant de s'en servir pour aborder le sujet des vies antérieures. Pour que l'équilibre des choses soit respecté, on pourrait imaginer que chaque chemin de vie doit être respecté et complété car il a un rôle bien précis dans ce canevas universel, tout comme chaque fil de ma chemise doit être complet et continu pour que ma chemise forme un ensemble continu et harmonieux. Mais à l'échelle de l'humanité cela peut prendre des milliers de nos années "humaines" à un chemin de vie pour jouer son rôle. Alors, il va utiliser plusieurs vies humaines pour parcourir la totalité de son chemin. Un esprit qui a perdu son enveloppe corporelle car elle est rendue trop vieille, doit attendre qu'une autre enveloppe corporelle compatible avec son chemin de vie se présente. Cela peut prendre des siècles, voire des millénaires, ou juste quelques jours. Mais il faudra attendre que se présente une autre "enveloppe charnelle" ayant des caractéristiques indispensable à la continuité du chemin de vie concerné. Difficile de définir ces caractéristiques, car dans ce monde, le temps et l'espace n'a aucune importance et sans ces concepts, nous avons bien de la misère à se faire une idée de l'organisation des choses, nous qui rattachons tout à ces deux informations indispensables à notre monde : "Où ?", "Quand ?" et "Comment?". Les départs prématurés d'enveloppe corporelle provoqués par la maladie, les accidents, les drames pourraient être comparés à une rupture du tube de vie causé par je ne sait quel phénomène, ou alors, le canevas universel avait besoin d'une partie bien spécifique d'un chemin de vie et a utilisé une enveloppe corporelle juste pour cette partie, et une fois terminé, a libéré l'esprit de son enveloppe pour être utilisé dans un autre tube de vie. 
Être donc une "enveloppe charnelle" chargée de la mission de poursuivre un chemin de vie, fera que nous hériterons de certains éléments appartenant déjà à ce chemin de vie, tout comme un coureur du relais 400m passe le bâton à son partenaire pour qu'il poursuive la course. Vous avez là un des éléments qui permet d'identifier notre "chemin de vie". Un proverbe sénégalais dit : "Quand tu ne sais pas où tu vas, retourne toi et regarde de où tu viens !". Mais bien des gens négligent ce qu'ils ont reçu et se perdent, tout comme on perdrait notre carte et notre boussole dans la forêt amazonienne !!

Pourquoi les esprits ont besoin de cette phase dans une enveloppe corporelle ? Aucune idée. Est-ce pour découvrir et apprendre d'un monde matériel ? des sensations, des sentiments, des échanges basés sur un contact physique ? Peut-être... Une question de plus à rajouter à notre liste.

Les fantômes
Dans la continuité de ce raisonnement, le sujet des fantômes se rattacherait très bien à cette phase intermédiaire entre deux passages dans une enveloppe corporelle. L'esprit est là, attendant un autre "véhicule" pour continuer de parcourir son chemin de vie au travers de son tube de vie. Pourquoi certains sont-ils plus actifs que d'autres, pourquoi se manifestent-ils ? Peut-être ont-ils un caractère différent, des choses qu'ils voulaient absolument accomplir. Peut-être certains plus malins ont-ils trouvé le moyen de s'échapper temporairement de cette "salle d'attente" pour la prochaine enveloppe corporelle disponible et surtout compatible avec la suite du chemin de vie à accomplir ?

Un esprit ne serait libéré de sa tâche d'accomplir un chemin de vie que lorsque celui-ci serait achevé. Les fantômes sont des esprits qui attendent une autre enveloppe corporelle car ils n'ont pas fini leur route. Pourquoi certains semblent être là depuis des centaines d'années ? Peut-être que leur personnalité ne correspond pas à des chemins de vie à achever, ou alors, ils avaient encore quelque chose à faire dans une ancienne vie, ou ils ont vécu un départ trop brusque et leur attention reste focalisée sur ce but à terminer et de ce fait, leur esprit n'est pas disponible à autre chose, tout comme un pêcheur qui observe son bouchon avec attention est, de ce fait, inattentif et non disponible à une conversation qui se déroulerait à côté de lui.

Les apparitions
Tout comme un réseau routier où les routes sont en général éloignées et bien distinctes, parfois dans un "échangeur", elles se rapprochent suffisamment pour voir clairement les visages des occupants d'un autre véhicule. Dans le canevas de l'univers, les choses sont comparables. Lorsque deux chemins de vie se rapprochent suffisamment pour apercevoir "l'autre personne", c'est dans ce cas là que se produisent ce qu'on appelle "des apparitions". Et comme le temps est une invention humaine, il n'existe pas dans cette toile de l'univers, alors il semble "normal" de parfois voir des entités venues d'une autre époque.

Parfois même, certaines apparitions font état d'êtres différents, comme des gnomes, des lutins, des êtres étranges... et bien ouvrons notre esprit, et tout comme il y a différents types de véhicules sur notre réseau routier, des voitures, des vélos, des motos, des rollers, etc, pourquoi n'y aurait-il pas différentes formes de vies réparties dans ce "canevas universel", dont la race "humaine" n'en serait qu'une d'entre elles. Pourquoi n'en voyons nous pas plus souvent ? Je pense qu'il faut en plus réunir d'autres paramètres que nous ne maîtrisons pas et qui rendrait un "contact visuel" possible. Je fais cette hypothèse d'une "compatibilité vibratoire" pour accéder à des éléments d'un autre monde dans un autre article de ce blog : "Les vibrations : Une source universelle de solutions"
Lien vers l'article "Les vibrations : Une source universelle de solutions"


Ces explications n'ont absolument rien de prouvé, ni aucun fondement concret. Je vous fait part ici de simples réflexions sur "comment ça pourrait fonctionner" pour essayer de trouver un lien entre ces multiples sujets étranges sur lesquels nous avons placé l'étiquette "paranormal".

Dans un passé lointain, les étoiles étaient juste des petits trous d'épingle dans le voile noir de la nuit, le soleil tournait autour de la terre, la terre était plate, parler dans une boite et se faire entendre à des centaines de kilomètres n'était même pas imaginable, les éclairs étaient la colère des Dieux, le feu était un dieu lui-même, bref, des centaines de sujets "paranormaux" pour les gens de l'époque, car la "science" pour les expliquer et les outils pour pour les mesurer n'existaient pas... Alors pourquoi toutes ces choses paranormales d'aujourd'hui, ne suivraient-elle pas une "science", des lois qui n'aurait pas encore été découverte ??? 

Les hommes à l'origine de l'élaboration et de la découverte des lois scientifiques ont bien commencé par des observations et des hypothèses pour relier différents phénomènes pour essayer d'y trouver une répétabilité dans les évènements et y découvrir certains liens d'interaction.

Suis-je en train de poser la première pierre d'une théorie sur la "Toile Universelle"... qui sait... j'espère que mes arrière-arrière-arrière-arrière petits enfants auront la réponse.....  


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